[1]
la loi du 23 fructidor An VI [2] ( 30 Aout 1798), fut instituée l’obligation de célébrer les mariages au chef-lieu du canton et ce à partir du 1er vendémiaire an VII (22 septembre 1798).
Cette obligation est restée en vigueur jusqu’au 7 Thermidor an VIII (26 Juillet 1800)
Les actes sont relevés sur un registre spécifique pour le canton.
L’info du mariage est parfois reprise dans la table decennale de la commune d’origine mais ce n’est pas une généralité.
[2] Cette loi poursuivait deux buts :