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Jean François Hodoul

par Henri Maurel


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Biographie

Le Brigantin Scipion du port de 216 tonneaux, construit à La Ciotat en 1789 par la Maison Solier, Martin, Salavy et Compagnie, armé de quatre canons, commandé par le Capitaine Jean Calixte Meric [1], mouilla dans la rade du Port Louis, Isle de France, le 12 avril 1790 [2].

Ce petit navire avait quitté Marseille le 27 octobre 1789 [3], pendant les heures sombres de la révolution française. A son bord, un jeune provençal de 25 ans, Jean François Hodoul, figurant au rôle d’équipage comme Capitaine.

Qui était Jean François Hodoul ?

Né à la Ciotat le 11/04/1765 de Raymond Hodoul, Maître Charcutier et de Geneviève Cauvin, fille de François Lazare Cauvin, Maître Boulanger et de Claire Ducros, très probablement dans la maison familiale sise Rue Longue [4], actuelle Rue des Poilus au n° 6, dont le rez-de-chaussée servait de commerce à son père. Aujourd’hui, ce même local abrite toujours, une…Charcuterie-Traiteur tenue par la famille Femel "Au fin Gourmet".

La mer n’est distante que d’une centaine de mètres. Elle attira naturellement notre futur Corsaire ainsi que ses deux plus jeunes frères, An­toine Julien et Barthélémy Raymond, qui le suivi­rent plus tard dans les îles lointaines de l’Océan In­dien. La Ciotat connue par son port de pêche de commerce et surtout par ses chantiers navals, ne re­tint pas long­temps les fils du Charcutier. Il est fort probable que les trois frères eurent l’occasion de côtoyer des navigateurs dès leur plus jeune âge et ne résistèrent pas à l’appel du large.

On pense que Jean François fit ses études dans une école d’hydrographie de la région Marseillaise, probablement à Martigues.

Il ne nous a pas été possible de retracer la carrière maritime de Jean François avant qu’il ne quitte son pays natal pour les îles de l’Océan Indien, dans lesquelles il n’allait cependant pas tarder à faire parler de lui, notamment à l’Isle de France et aux Seychelles.

Aussitôt arrivé à l’Isle de France, Jean François fut mêlé à plusieurs opérations de traite à partir des Seychelles et de Port Louis.

Le 10 juillet 1792 il commandait le navire les Deux Sœurs qui appareilla de Port Louis pour la côte d’Afrique d’où il revint le 13 août de la même année avec une cargaison de noirs [5].

Le 19.09.1793, il commandait le brick Le Succès (150 tonnes), propriétaire Jean François Mal­roux, au dé­part de Port Louis pour Madagascar et Quiloa, d’où il revint avec une cargaison d’esclaves. [6]

Hodoul fréquentait alors les Seychelles, pour plusieurs raisons. L’archipel était un lieu de transit pour les esclaves qui y faisaient un séjour "de rafraîchissement" avant d’être transportés sur Maurice ou La Réunion.

Il y avait rencontré à Mahé, la principale île de l’archipel, une jeune fille, Marie Corentine Olivette Jorre de Saint Jorre, née à l’Isle de France en avril 1778, dont le père Jean François Marie, né à St André, Ile Bourbon, le 06/09/1758, s’était établi d’abord à L’Isle de France en 1770 avant de se fixer définitivement aux Seychelles, à Plaine Saint André , à 4 km au sud de Pointe la Rue où sa demeure, rénovée, est encore visible actuellement. [7]

Le 16.05.1794 le Brick de Hodoul, Olivette, baptisé du nom de sa jeune fiancée et décrit comme négrier et parfois à tord comme corsaire, se trouvait dans le port de l’actuelle Victoria, Mahé, aux Seychelles, quand une flottille Anglaise de quatre vaisseaux et deux prises Françaises, sous le comman­dement de l’Amiral Newcome, rentra à l’improviste dans le port. Hodoul avisa Quéau de Quinssy, le Gouverneur Français des Seychelles, qu’il préférait échouer l’Olivette plutôt que de la livrer aux Anglais, et il s’ef­força de mettre son projet à exécution. Les Anglais, cependant, capturèrent l’Olivette. Dans la capitulation des Seychelles aux Anglais, le victorieux Newcome promit que ni les colons, ni leurs posses­sions ne seraient saisis, sauf l’Olivette qui serait considérée comme prise anglaise. Newcome fit voile avec sa prise vers les Indes [8]. cependant Auguste Toussaint fait remarquer qu’un navire nommé Olivette, supposé être le même, fit commerce à Maurice en 1806/07, sous le commandement de Hairay. [9]

Déjà depuis 1794, les corsaires Français envoyaient leurs prisonniers aux Seychelles. Si les prises étaient terries directement à l’Isle de France, les équipages transitaient par cet archipel [10]. Le 4 Août 1794, le Commandant André Marchand, à bord de son navire l’Utilité, fit à Port Louis la déclaration selon laquelle son navire avait été "requis" ainsi que lui-même le 6 juin 1794 par Quéau de Quinssy, avec pour mission "urgente et indispensable", de convoyer les prisonniers provenant du corsaire Le Dugay-Trouin, armé par la Maison Pitot et Co [11].

Jean François Hodoul ne prit pas une part active à ce transfert pour deux raisons : Son navire l’Olivette avait été pris par les Anglais, et il devait s’occuper de sa très jeune fiancée qu’il devait épouser le 8 juin 1794...

Avec un recul de prés de deux siècles, le 18 e, puis le 19 e siècle semblent avoir été une curieuse époque. Peut-être l’une des plus étranges situations, concernait les Seychelles, où le Gouverneur, Quéau de Quinssy, capitula, cédant les Seychelles à une escadre Anglaise en 1794, et hissant les couleurs tricolores dès que les Anglais quittèrent le port, répétant, ainsi le même procédé à chaque fois que les Anglais revenaient.

Officiellement, les Seychelles étaient une possession Britannique, et leurs habitants, bien que se considérant encore eux-mêmes comme de loyaux Français, arborèrent allègrement un drapeau spécial sur leurs navires, portant l’inscription "Seychelles capitulation" , leur donnant ainsi la liberté de côtoyer à la fois des navires Français ou Anglais dans leurs navettes en Océan Indien.

Etrange aussi que l’un des plus fameux corsaires pouvant tourmenter le commerce Britannique dans les environs, fût basé aux Seychelles, alors que cet archipel était officiellement possession Anglaise, et que ses activités de course eurent re­çues l’appui total des colons [12].

Nous retrouvons Jean François Hodoul comme Enseigne sur le corsaire Entreprise, l’ancien Jean Bart, commandé par le Capitaine Legars, opérant de Maurice. De là, il passa sur la prise Anglaise le Hay, convertie en corsaire Français sous le nom de Général Pichegrue, capitaine Jean François Perroud.

Le 17.02.1796 Hodoul, conduisit au Port Louis, la prise anglaise Le Castor, 150 tonnes, dont la cargaison consistait en "200 sacs de bled et 20 sacs de riz", capturée par le Général Pichegrue le 8 janvier 1796 , au cours d’une opération en rade de Visigapatam, Indes. [13]

En 1797 Jean François Hodoul reçut le commandement du navire Apollon, armé de 10 canons et de 10 obusiers de 12, fraîchement arrivé au Port Louis le 7 janvier de la même année en provenance de Brest.

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Le corsaire Apollon, dessiné par le matelot Tabardin

Armé en course par Charles Pitot, Jean Baptiste Pillet, Peltier et compagnie, la première croisière de l’Apollon allait s’avérer l’une des opérations de course les plus lucratives de l’époque. [14]

Le 08.05.1797 au large de la côte Malabar, à deux lieues de la terre, Hodoul vit trois trois-mâts et un brick. Trois d’entre eux furent identifiés comme navires danois, mais le quatrième était un vieux trois-mâts Français, précédemment capturé par les navires Anglais Arrogant et Héroïne, et naviguant sous le nom de Eliza, capitaine William Brown. Après une course poursuite, l’Eliza abaissa ses couleurs. [15]

Le 14.05.1797 L’Apollon vint au devant d’un navire Anglais démâté et sombrant, apparemment déserté par son équipage après de sévères dommages subis au cours d’une tempête. Hodoul aborda le navire et trouva sept esclaves noirs encore vivants à bord. [16]

Le 17.05.1797 L’Apollon captura un petit navire Anglais l’Edroussi, mais qui s’avérera par la suite être "de mauvaise prise", selon jugement au Port Louis. Le navire et sa cargaison furent rendus à l’équipage. [17]

Le 20.05.1797 Sur la route de Coringa, Hodoul saisit le navire Anglais le Macroy. Plusieurs marins Anglais s’échappèrent vers le rivage, dans un canot, et furent poursuivis par des marins Français, à feu nourri. Les fuyards laissèrent sur la plage un gros coffre contenant un grand nombre de perles de tailles variées. [18]

Le 15.09.1797 Le navire Anglais Bader Bux, reliant Moka à Surate, fut a son tour capturé. A bord se trouvaient 3732 écus d’or, quelques piastres, 296 sequins d’or et une quantité de perles. [19]

Le 30.10.1797, retournant sur Maurice, Hodoul captura le Laurel, Capitaine Fuggo. Comme l’équipage de l’Apollon était considérablement réduit du fait du besoin en hommes de prise, l’équipage du Laurel dut être mis aux fers. [20]

Le 09.11.1797 La Trayalle fut pris à 8 heures, et le Harrington plus tard dans la journée. Le total des prises capturées par l’Apollon dans cette expédition rapportèrent 703.479.803 francs [21].

A son retour à Port Louis, L’Apollon, dont Hodoul aurait possédé la moitié des parts, fut vendu au corsaire Le vaillant, qui en assura le commandement. L’Apollon appareilla pour une campagne le 22 Août 1798, captura une riche prise portugaise, puis fut lui-même arraisonné par le HMS Leopard, le 10 Novembre 1798, à environ 500 miles au NE de Mombasa, près de l’équateur et Longitude 45° 30’. Son équipage fut emmené à Anjouan, aux îles Comores, mais purent, plus tard, retourner à Maurice. Il est improbable qu’ Hodoul ait été parmi eux, en dépit de l’affirmation de Toussaint, comme officier en second. [22]

Si l’on considère la date de naissance du premier enfant de Hodoul, Raymond, le 20/06/1799, et "en comptant sur les doigts", on arrive à la conclusion que son enfant avait été conçu en septembre 1798. Hodoul n’était donc pas à Bord de L’Apollon lors du départ de ce navire de Port Louis. Cet argument est conforté par deux éléments irréfutables : Un exemplaire du rôle d’équipage de L’Apollon retrouvé au Archives Départementales de la Réunion [23], indique que le navire avait relâché dans cette île, certainement pour "faire le plein" de volontaires. La mention marginale en face du nom de Hodoul indique "à Prendre aux Seychelles". L’Apollon n’ira point le chercher, car dans ses mémoires, le matelot Tabardin [24], écrit " … nous partons et nous voilà voguant sur les flots. Nous passâmes à Bourbon pour y prendre des volontaires, et continuant notre voyage, la première terre que nous vîmes fut la baie de Lagoa, ensuite celle de St Augustin ; Puis nous dirigeâmes notre route vers Mozambique pour y établir notre croisière." Hodoul échappa donc à cette fâcheuse aventure.

Le 28 Janvier 1800 Hodoul commandant le navire parlementaire Succès, fit la déclaration suivante au Port Louis : "…lequel a déclaré être parti des Isles Seychelles le 4 janvier dernier, qu’il n’a fait aucune rencontre et être tout ce qu’il a à déclarer et a signé….et qu’il a à son bord l’équipage et les officiers de La Surprise [25]

Il est indéniable que Hodoul a été compagnon d’armes des frères Robert et Nicolas Surcouf [26], et fréquentait d’autres Capitaines de corsaires basés à l’Ile de France comme Lemême, Malroux et Dutertre.

Ce dernier, sur le corsaire Général Malartic, avait capturé près de Madras, le navire La Surprise. L’ Asiatic Annual Register de Novembre 1799 mentionne :

" Lundi Matin, 28 octobre dernier, un express arrivé de Masulipatam au bureau central de la poste à Bombay, a porté la nouvelle de la capture par un corsaire Français, un peu au nord de Madras, des navires ci-après : La Surprise, appartenant au Nabab d’Arcot.....On suppose que le corsaire, qui a fait ces prises est le Malartic de 12 canons..." [27]

La Surprise était, en fait, une corvette Française capturée aux Seychelles par la Frégate Anglaise HMS Braave, Capitaine Alexander, le 20 septembre 1799. Ce navire avait appareillé de l’Ile de France avec les émissaires de Tipoo Sahib à destination des Indes, mais avait relâché aux Seychelles pour réparer. Quéau de Quincy, le Gouverneur des Seychelles, excellent diplomate, refusa néanmoins de livrer ses hôtes. Alexander dût se résoudre à laisser dans l’archipel l’équipage et les passagers de La Surprise. On sait qu’un mois plus tard ce même navire, La Surprise, alors devenue prise anglaise, fut à son tour capturée par le Général Malartic, Capitaine Dutertre. L’Océan Indien était manifestement le théâtre de rebondissements spectaculaires. [28]

De Quincy expédia ses hôtes à l’Ile de France sous pavillon parlementaire. Le Navire choisi était une vieille connaissance : le brick Succès. Le commandant ne pouvait être autre que notre corsaire, Jean François Hodoul.

Hodoul prit le commandement de l’Uni, qui avait déjà été le navire du corsaire Le Même. L’Uni est décrit comme originaire d’Europe, de 26 obusiers de 9 " dans la batterie, entre la dunette et son gaillard d’avant, 220 hommes. Il est reconnu être un voilier très rapide, avec l’apparence d’une conception Londonienne, peint de jaune sur les flancs et blanc aux moulures. " [29]

Le 15 Mai 1800, presque exactement six ans après avoir perdu l’ Olivette, il partit pour une autre croisière. Relâchant aux Seychelles, Hodoul captura le 1er juin 1800, le corsaire Anglais Henriette, Capitaine White, après l’avoir poursuivi autour de l’île Ste Anne. [30]

Le 11.07.1800 Hodoul captura L’Helen, Capitaine John Steward, à bord de laquelle, furent trouvées 80.000 piastres.

Un autre navire anglais, le brick Bee fut amariné entre Madras et Masulipatam [31].

Le 04.08.1800 le Frienship, fut capturé au large de Masulipatam. Puis observant un gros navire qui s’approchait, Hodoul mit voile sur lui, avant de se rendre compte de sa méprise : Il s’agissait en fait de la Frégate de Sa Gracieuse Majesté Britannique le HMS Arrogant. Ce dernier attaqua et captura l’Uni.


Journal de bord


LIVRE DE BORD DU HMS ARROGANT

Master Williams Young,

Observation en mer Mardi 5 Août 1800 [32]

" Brise légère et nuageux, longeant le rivage dans 9 à 10 mètres d’eau. A 2.00 heures point Divey portant N N O 5 ou 6 miles. Les deux voiles étranges, bien qu’arborées des cou­leurs Britanniques, apparaissent suspectes. Leur ai donné la chasse. A 2.30 heures, le plus proche d’entre eux qui avait une rangée de canons et ressemblant à une frégate remonta le vent et parla à l’autre, qui porta et resta au S O. A 2.45 heures, étant passé prés du poursuivi, il abandonna son canot qui était sus­pendu au dessus de la poupe, et commença immédiatement à jeter par dessus bord ses canons et au­tres objets. A 3.45 heures étant à portée de tir donnai un tir de se­monce au dessus de lui, alors il amena les couleurs Britanniques et hissa les couleurs nationales Fran­çaises et tira sur nous de ses canons de poupe. A 4.15 heures il se rendit. Approché et envoyé les canots pour en prendre possession. Révélé être l’Uni corsaire Français de 32 canons, 18 obusiers de 4 et quatre obusiers de 18 sue le pont principal et quatre obusiers de 9 et 4 caronades sur le pont de quart tous ayant été jeté par dessus bord pendant la chasse sauf 2 obusiers de 18 et 2 caronades. Commandé par Jean Françis (Sic) Hodoul, équipé de 250 hommes

Le 12.08.1800, Hodoul et son équipage furent débarqués à Madras. Hodoul fut emprisonné au Fort William, à Calcutta où un autre corsaire le rejoignit quelques mois plus tard, Nicolas Surcouf, le frère de Robert. Il y resta jusqu’à la Paix d’Amiens en 1802. [33]

Le 23 juin 1803, Hodoul requit, avec succès, de l’Ordonnateur-Général à Port Louis [34], la reconnaissance de ses qualités de Capitaine de Marine marchande, ayant laissé ses certificats de capitaine en France au moment de son départ. Peut-être ceci indique qu’il envisagea, pendant un temps, la possibilité de retourner vers des activités de guerre. Ses courses sur l’Uni furent, toutefois, ses dernières comme corsaire.

Hodoul se retira aux Seychelles ou il devint un personnage aimé et respecté de tous. Il s’occupa à fonder une famille nombreuse avec Marie Corantine Olivette qui lui donna douze enfants.

Il devint planteur, notre ami Julien Durup lui attribue l’implantation du cacao dans l’archipel. Hodoul eut une plantation de caféiers dans son domaine de "Ma Constance"

Hodoul ne délaissa pas la mer pour autant. Il construisit aux Seychelles plusieurs navires et s’associa avec son fils aîné Raymond [35] pour des activités de constructions et de réparations navales. Ils firent pour cela l’acquisition d’une petite île située dans la rade de Victoria, l’actuelle capitale de Mahé, et qui porte encore de nos jours le nom de Ile Hodoul.

Il navigua de nombreuses fois entre les Seychelles et l’Ile Maurice et les côtes d’Afrique sur des navires de tonnages différents certains jaugeant à peine 25 tonneaux, tous transportant des esclaves et des denrées diverses. [36]

Jean François Hodoul eut plusieurs propriétés à Mahé, mais aussi dans d’autres îles de l’archipel des Seychelles comme Ste Anne, La Digue et Silhouette, mais c’est sur celle portant le nom de "Ma Constance" située à Mahé, au Nord de Victoria, qu’il finit ses jours. La tradition orale [37] confie qu’il partit un jour à cheval pour inspecter sa plantation. Sa monture revint seule à l’écurie. Après de longues recherches on trouva son corps inanimé. Mort probablement d’une crise cardiaque ou d’une chute fatale, il fut inhumé dans le cimetière de Bel Air à Mahé.

Sur sa tombe l’ épitaphe [38] :


ICI REPOSE
JEAN FRANCOIS
HODOUL
ANCIEN CAP. DE CORSAIRE
NE A LA CIOTAT
LE 20 JUIN 1765
MORT A MAHE
10 JANVIER 1835
IL FUT JUSTE

REMERCIEMENTS

Mes Remerciements vont à :

Madame Hélène Thazard, Présidente du CGB

Shaun et Patricia Mitchell, Coorparoo, Australie

Monsieur Julien Durup.

Monsieur Thierry Mabily, Service des Archives Communales de La Ciotat

Centre d’Archives Outre Mer (C.A.O.M.) à Aix-en-Provence (13

La Sté de l’Histoire de l’Ile Maurice

Le personnel des Archives Départementales à La Réunion.

Le personnel des Archives de l’Ile Maurice et des Seychelles.

Notes

[1] Archives de la Marine, Toulon

[2] "La route des Iles", Auguste Toussaint page 291.

[3] Archives de Maurice OB28/404

[4] Archives Communales de la Ciotat, Plan Cadastral.

[5] Archives de Maurice F10/319 Retracé par Shaun & Patricia Mitchell.

[6] "Dictionnaire de Biographies Mauriciennes".

[7] Bonjour les Seychelles " par Jean-Pierre Reymond et Pierre Argo chez "les créations du Pélican "à Paris 1998 . http://www.frtc.com/pelican . Information fournie par Jacques Combaz (+)

[8] Shaun & Patricia Mitchell

[9] Auguste Toussaint : "La Route des Iles".

[10] Shaun & Patricia Mitchell

[11] A Toussaint, "Les Frères Surcouf" et "La Route des Iles".

[12] Shaun & Patricia Mitchell

[13] Archives de Maurice : Déclaration d’arrivée et Minutes du Tribunal des Prises.

[14] Archives de Maurice : Document sur les croisières de corsaires et leurs prises.

[15] Saint Elme le Duc, "l’ Ile de France, documents pour son histoire civile et militaire " Carnegie Hall, Curepipe, Ile Maurice

[16] Saint Elme le Duc "l’ Ile de France, documents pour son histoire civile et militaire " Carnegie Hall, Curepipe, Ile Maurice

[17] Archives de Maurice : Minutes du Tribunal des Prises.

[18] Archives de Maurice : Minutes du Tribunal des Prises

[19] Saint Elme le Duc, "l’ Ile de France, documents pour son histoire civile et militaire " Carnegie Hall, Curepipe, Ile Maurice

[20] Saint Elme le Duc, "l’ Ile de France, documents pour son histoire civile et militaire " Carnegie Hall, Curepipe, Ile Maurice

[21] Archives de Maurice : Documents divers sur les Corsaires

[22] Auguste Toussaint : Dictionnaire de Biographies Mauricienne.

[23] Liasse L408

[24] Mémoires de Tabardin, manuscrit, Carnegie Hall Curepipe Ile Maurice

[25] Archives de Maurice F4/761

[26] les SURCOUF originaires de Sortosville-en-Beaumont

[27] Aimablement relevé et transmis par madame Hélène Thazard

[28] Histoire des Seychelles

[29] [Shaun & Patricia Mitchell

[30] Archives des Seychelles

[31] Michael Philips : Sailing Ships of the Royal Navy

[32] Aimablement communiqué par Shaun & Patricia Mitchell

[33] Auguste Toussaint, "Les Frères Surcouf"

[34] Archives de Maurice

[35] Celui là même qui allait, un peu plus tard, casser du caillou au Cap La Houssaye, La Réunion. Bulletins du CGB N° 54 et N° 61

[36] Auguste Toussaint, "La Route des îles"

[37] Shaun & Patricia Mitchell

[38] Son acte de naissance porte la date du 11 avril 1765