Photos Jean-Didier BÉRARD
La cour n’était pas bitumée, et aucune fleur ne l’ornait, hormis un minuscule parterre, à droite de la porte d’entrée de la maison. Pas à gauche : c’était la fenêtre de la cuisine, ma chatière personnelle, en été. Entre les cabinets et l’église, où je fus baptisé, le courtil, que cultivait, pour ma mère, la famille Garnier : le père, la mère, les enfants et le cheval, attelé à la charrue. On y faisait pousser des pommes de terre, et toute l’école allait à la chasse aux doryphores : c’était un devoir national et patriotique. Je regrette la disparition du puits ... je vais tâcher d’en retrouver une photo " d’époque".
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