Généalogie ascendante de Robert SURCOUF (1773 - 1827)
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établie par JEAN CLAUDE DEVAL
le 21/10/2009
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1. SURCOUF Robert1 , Génération I |
Fils de SURCOUF Charles Joseph Ange - 2 - Né le dimanche 2 août 1739 à saint Malo (35). Décédé le dimanche 18 janvier 1818 à l'âge de 78 ans. et de TRUCHOT DE LA CHESNAIE Rose Jeanne Julienne - 3 - Née le lundi 29 août 1746. Décédée le mardi 25 janvier 1825 à l'âge de 78 ans. Sixième enfant de Charles et Rose. A sa naissance, ses père et mère étaient âgés de 34 ans et 27 ans. Décédé le dimanche 8 juillet 1827 à saint Malo (35), Saint-Servan Né le dimanche 12 décembre 1773 à saint Malo (35) Professions : Corsaire, Armateur |
Il a épousé à l'âge de 53 ans, en juillet 1827, BLAIZE de MAISONNEUVE Marie-Catherine. |
1 Note Générale :
Robert SURCOUF
Le " Roi des Corsaires "
Né à St-Malo en 1773 d’un père armateur et d’une mère fille d’un capitaine de la Royale, Robert Surcouf descendant d’un Roi d’Irlande, mousse à 13 ans, part pour les Indes à 16 ans.
Capitaine Corsaire à 22 ans, il va mener pendant quelques années une guerre très active contre les navires de la Compagnie française des Indes dont son arrière grand-père avait été co-fondateur .
Partant de l’île Maurice, alors appelée " Ile de France " ou de l’île Bourbon, aujourd’hui La Réunion, Robert Surcouf capturera en quelques années 47 navires dans ce triangle qui va de ces possessions françaises aux côtes de Sumatra en passant par le Golfe du Bengale.
Ses exploits les plus célèbres furent les prises des navires anglais ; Triton (1000 tonneaux, 26 canons et 150 hommes d’équipage) au large de l’Inde le 29 janvier 1796, par les 60 hommes de son navire, l’Emilie, puis le Kent (1200 tonneaux, 38 canons, 437 hommes d’équipage dont 150 fusilliers) pris à l’abordage le 7 octobre 1800 par les 150 hommes de la Confiance, bien petit navire (364 tonneaux) armé de 18 petits canons, face à sa proie.
La "Course " interdite, Robert Surcouf se mua en armateur et finit sa vie à St-Malo en 1827.
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Le Capitaine Surcouf qui a rempli les mers de l'Inde du bruit de ses exploits héroïques; sortit de l'Isle de France en Août 1795, monté sur un bâtiment de 200 tonneaux, armé de deux canons n'ayant que 20 hommes d'équipage. Comme il arrivait à la rade de l'Isle Sainte-Anne, il rencontra 3 bâtiments anglais chargés de riz, qu'escortait un petit bâtiment plus fort que le sien; il force ce dernier à ce rendre et s'empare du convoi. Glorieux de sa prise, il rentrait à l'Isle de France, lorsqu'il signale un gros bâtiment de guerre anglais portant 26 canons de 12 et 150 hommes d'équipage. Il fallait vaincre ou se rendre. Surcouf alors supplée à la force par l'adresse; il fait cacher son faible équipage, se montre seul sur le pont et s'approche du bâtiment; mais au moment ou le capitaine ennemi croit recevoir un prisonnier, une décharge de mousqueterie renverse autour de lui une partie de son équipage. Les français se relèvent; le signal de l'abordage est donné. Surcouf s'élance sur le pont ennemi suivi de ses braves; le capitaine Anglais tombe mort, 50 de ses compagnons sont blessés, 10 tués; les autres se rendent à discrétion.
Surcouf n'ayant point de lettres de marque , ses prises furent confisquées au profit du Gouvernement; mais elles lui furent restituées à titre de récompense. Le 6 Octobre 1801 se trouvant sur les brasses du Bengale, à la hauteur de la rade de Balassor et n'ayant encore qu'un bâtiment armé de 160 hommes et 20 pièces de canon de petit calibre, Surcouf s'empara du vaisseau Anglais
le Kent
le Kent de 357 hommes et 26 canons de 18. Le capitaine Revington fut tué et le Général St John fait prisonnier; l'ennemi perdit en outre 80 hommes tués ou blessés, et nous n'en eumes que 14 hors de combat. Le capitaine Surcouf est aujourd'hui membre de la Légion d'Honneur
Texte tiré de la gravure : "Robert Surcouf 1812. A Paris Bureau de l'Auteur des Fastes de la Nation Française "
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Robert Surcouf (1773-1827)
Corsaire malouin, Robert Surcouf fut davantage connu de l'imagerie populaire française pour ses hauts faits d'armes contre des vaisseaux anglais que pour sa large participation à la traite négrière.
De 1795 à 1800, il pratiqua la traite en dépit de l'abolition de l'esclavage par le décret du 16 pluviöse an II (4 février 1794) . Les bénéfices obtenus doivent également être ajoutés à ceux de la course, dont il est connu qu'ils furent ensuite investis dans d'autres opérations qui permirent à Surcouf de devenir un riche armateur.
Le régime de la Restauration, mis en place en 1815 après la défaite napoléonienne de Waterloo, était d'autant plus favorable à l'abolition de la traite qu'il voulait plaire aux Anglais. Cela n'empêcha pas Surcouf d'envoyer le 15 août 1815 l'Affriquain, vaisseau de 212 tonneaux, vers l'Angola. Surcouf était également colonel de la Garde Nationale de Saint-Malo et on imagine mal la dénonciation d'un héros aussi illustre au nom d'une loi inspirée par la Perfide Albion, objet phobogène traditionnel des marins français.
La marine britannique saisit alors trois vaisseaux français de Nantes et du Havre. Au ministère de la marine, une certaine indécision laissa accroire que la traite pouvait continuer. Curieusement, le ministre français de la marine, fut, pendant quelques temps le marquis de Jaucourt, neveu de celui qui avait autrefois rédigé l'article consacré à la traite dans l'Encyclopédie.
Au total, Surcouf arma au moins trois expéditions de traite clandestine commandées par le capitaine Pottier, à bord du vaisseau Adolphe, dont on ne sait s'il était appelé ainsi pour railler Benjamin Constant, abolitionniste et auteur d'un roman dont Adolphe était le titre. A vrai dire, d'après un descendant de Surcouf, il s'agit plutôt et plus simplement du prénom du fils du célèbre corsaire-négrier.
En 1816, 36 vaisseaux de traite appareillèrent de France pour les côtes d'Afrique, du Cap Vert à l'Angola et de Madagascar à Zanzibar. La saisie, en 1817, du Louis de Nantes qui cinglait vers la Martinique entraina la condamnation de son capitaine par un tribunal de Sierra Léone. Bien avisé, celui-ci en appela à la cour de l'amirauté britannique qui lui donna gain de cause. La marine britannique reçut l'ordre de ne plus saisir les vaisseaux français. Les officiers de sa majesté obéirent à contre-coeur. C'était un plaisir bien compréhensible pour eux que de continuer d'entreprendre des actions contre les Français, bien que les Bourbons fussent de retour à Paris...
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Robert Surcouf est né en décembre 1773 à Saint-Malo. Originaire de La Hague, il compte plusieurs corsaires parmi ses ancêtres. Pourtant ce n'est pas à la mer qu'on le destine, il reçoit la tonsure et entre au séminaire. Mais au petit Robert de 13 ans on n'impose pas sa volonté : après les avoir passablement bousculés, il quitte les prètres chargés de son éducation et décide de rejoindre des maîtres autrement robustes : les bateaux.
A 15 ans, il se porte volontaire pour le commerce avec les Indes, à 18 il est déjà lieutenant mais préfère quitter la Marine de guerre, sans doute désireux de se retrouver seul maître à bord. Ce n'est pas une période très favorable pour la course la Convention veut l'interdire, les équipages sont difficiles à recruter, les armateurs manquent et l'Etat ne donne plus d'argent pour financer la construction des bâtiments. Pourtant, avec toute la violence et la générosité de son caractère. Surcouf se lance dans l'aventure avant même d'avoir pu obtenir une lettre de marque, ce qui lui vaut la confiscation de ses premières prises. Un jour il ordonne même à son équipage de jeter par dessus bord des barils d'or préférant perdre sa part plutôt que d'en donner la moitié au fisc, ce faiseur de chicanes.
Bien que fructueux, ses voyages sont aussi périlleux et nombreux. En 1801, il se fixe à Saint Malo, se marie et gère sa coquette fortune. Il a la passion de la mer et de l'aventure mais n'en est pas l'esclave. Il reste six ans à terre, et ce bien que Napoléon vienne en personne lui proposer, en 1803, une commission de capitaine de vaisseau et le commandement d'une escadre. Surcouf refuse parce qu'on ne lui accorde pas l'indépendance de manoeuvre totale qu'il réclame. Il ne manque pas cette occasion de faire devant le futur empereur un fervent plaidoyer en faveur de la course, arme bien plus efficace qu'une flotte armée dans la guerre contre l'Angleterre qui. selon lui, doit être économique. Il semble que Napoléon l'ait entendu puisqu'il choisira en 1805 la formule du blocus et ne fera rien contre la course en dehors de quelques déclarations humanitaires de circonstance.
Après un repos de six ans, Surcouf se fait construire un trois mâts, Le Revenant et reprend la mer. Il semble un peu assagi. mais reste impétueux, ignorant la contrainte, qu'il suive le mouvement de son coeur en laissant vie sauve et liberté à un négrier pris sans autorisation, ou qu'il se laisse emporter et affronte le gouverneur d'lle de France en débarquant de force des passagers qu'on voulait lui imposer.
De retour à terre. il s'installe définitivement à Saint-Malo, pourvu d'une solide fortune et d'un titre de baron. Il meurt le 8 juillet 1827. C'est par mer, entouré de plus de cinquante canots, qu'il gagne le cimetière de la ville.
D'après : L'agenda Marine 1997 (Edition Coeur de France 29, rue de Versailles 78150 Le Chesnay)
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Robert Surcouf (marin) né à Saint-Malo en 1773 et décédé en 1827 à Saint-Malo. De 1795 à 1801 et de 1807 à 1809, il mena dans l'océan indien une redoutable guerre de course au commerce britannique, puis se retira à Saint-Malo, où il devint un très riche armateur.
Saint-Malo a bâti sa fortune en propulsant ses marins dans l’Histoire : l’histoire des grandes découvertes avec Jacques Cartier, l’histoire de l’économie des pêches avec ses terre-neuvas, l’histoire enfin des guerres qui ont opposé durant des siècles la France et l’Angleterre.
Ces guerres, les Malouins les ont menés à leur manière: la course. Une activité à la fois commerciale et militaire, qui permettait de renforcer, par des navires privés armés en guerre, la puissance de la Marine Royale. Les capitaines corsaires, titulaires d’une "lettre de marque" délivrée par le Roi (puis la jeune République et l’Empire), avaient mission d’attaquer les navires marchands battant pavillon ennemi, et de s’emparer de leur cargaison. A charge pour eux de la revendre, et de reverser une partie des bénéfices à l’Etat.
Saint-Malo a décidé de rendre hommage au plus fameux des corsaires, en reconstruisant le dernier navire armé par Surcouf : le "Renard".
Mousse à 13 ans, capitaine à 22, Robert Surcouf a taillé sa légende dans l’Océan Indien où l’Anglais se plaisait à croire qu’il naviguait en maître. Embarqué à bord de navires négriers et de ravitaillement, il accomplit son premier exploit en 1795, lorsque tout jeune capitaine de "Cartier", il prend à l’abordage un puissant navire marchand armé, le "Triton": à la tête de ses 18 hommes, il viendra à bout des 150 marins anglais, et traitera avec la plus grande politesse les passagères anglaises.
Sa réputation est faite. Elle grandira encore 5 ans plus tard avec la prise de "Kent", un vaisseau britannique 4 fois plus fort que sa petite goélette "la Confiance". Là encore, il l’emportera à 185 hommes contre 437. IL commande ensuite le trois-mâts "le Revenant". Nous sommes en 1808. C’est la fin de la course en Océan Indien. Surcouf a 35 ans et "raccroche" : l’aventure lointaine est terminée, il va vivre désormais à Saint-Malo sa vie d’armateur, en père de famille.
La course en Manche n’est plus ce qu’elle était. Les Anglais sont plus vigilants, les bénéfices diminuent. En 1812, Surcouf arme le " Renard ", un cotre de 20m rapide et manoeuvrant, portant 10 caronades et 4 canons. Il en confie le commandement à Emmanuel-Yves Leroux-Desrochettes. A son bord, 61 hommes. Le 8 septembre 1813, le "Renard" rencontre près des côtes anglaise la goëlette de guerre "Alphea", forte de 16 canons et autant de pierriers, et armée par 80 hommes d’élite. Le combat s’engage dans la nuit, meurtrier. Il demeure incertain, durant plusieurs heures, jusqu’au moment où une salve tirée par le cotre malouin atteint la réserve de poudre de la goëlette qui explose et disparaît corps et biens.
Le " Renard ", durement éprouvé et mené par les 13 hommes demeurant valides, rallie Diélette, puis Saint-Malo. Il avait livré le dernier combat corsaire : quatre mois plus tard, la France abolissait la course. L’année suivante, Waterloo sonnait le glas de l’Empire. Robert Surcouf, riche armateur désormais pacifique mourra d’un cancer en 1827, à l’âge de 54 ans.
Le Renard, cotre corsaire construit en 1812 pour l’armateur Robert Surcouf. Reconstitution par le chantier Labbé à Saint-Malo.
Caractéristiques du Surcouff
Longueur de coque 19m (hors-tout 30m). Largeur 6m. Déplacement 70t. Surface de voilure 250m2. Artillerie 10 caronades et 4 canons. Budget 4.5MF.
sont tous corsaires
http://armorance.free.fr/surcouf1.htm
http://www.histoiredumonde.net/article.php3?id_article=244
+8 juillet 1827 (Saint-Servan)
A 26 ans, Robert Surcouf entre dans la Légende...
La prise du Kent
"Voile à tribord !…»
« Est-il gros ? quel pavillon bat-il ?»
« Très gros ! C’est un Anglais ! un vaisseau de la Compagnie des Indes ! il semble lourdement chargé!"
C'est ainsi que discutent la vigie juchée tout en haut du mat et le capitaine du navire la Confiance.Nous sommes en 1800, le 31 août très exactement, au large de Calcutta dans l’Océan Indien à plus de 95 jours de mer de Saint Malo et de la France, en plein territoire anglais.
La Confiance bat pavillon français, elle compte 130 hommes d’équipage et 6 petits canons.
Son commandant s'appelle Robert Surcouf, il a 26 ans et il court les mers depuis l’âge de 15 ans; il a un caractère terrible, adore le danger et cherche l’aventure par tous les moyens.
Il est activement recherché dans les mers par les Anglais car il gêne par ses actes courageux le commerce entre les Indes et l'Angleterre. Ce jeune corsaire, en effet, depuis quelques années, ne cesse d'attaquer les navires anglais qui reviennent vers l'Angleterre les cales chargées de richesses en tout genre: or, épices, nourriture... Surcouf est devenu un véritable Robin des Bois des mers puisqu'il vole aux Anglais la nourriture pour la redistribuer dans l'île Bourbon ( île de la Réunion) où il habite et où menace la famine.
Depuis la Révolution Française, la France et l'Angleterre sont encore en guerre.
Dans les lointaines colonies françaises, les Anglais ont décidé d'encercler avec leurs bateaux les îles françaises afin d'empêcher les Français de faire du commerce.
On compte sur le courageux Surcouf pour se rendre dans les îles voisines de l'île Bourbon afin de trouver du ravitaillement; mais trouvant plus pratique de s'attaquer directement à la marine de commerce anglaise chargée de victuailles en tout genre, Surcouf vole de victoires en victoires ne cessant de harceler les Anglais.
Ces actes de piraterie finissent par menacer sérieusement le commerce britannique, la France fière de son corsaire jubile.
La couronne britannique donne alors des ordres pour attraper le corsaire français.
C'est alors que l'aventure de la prise du Kent commence...
Imaginant les cales du navire anglais remplies de riz, de bois précieux, de soie et d’épices, Surcouf a les yeux qui brillent de joie ; malgré la taille et la puissance du vaisseau, il ordonne :
« Cap sur l’Anglais ! faites forcer la voile ! les hommes à leurs postes de combat ! »
Les hommes n'ont d'ailleurs pas le choix, le bateau Anglais a reconnu le bateau de Surcouf et fonce vers lui pour l'écraser.
Tirant sa longue vue de son épais ceinturon, Surcouf déchiffre le nom du bateau. C’est le Kent un énorme vaisseau de la Compagnie des Indes armé pour la guerre.
Les hommes de Surcouf courent s'armer pour l'abordage, chacun glisse dans sa ceinture une hache, un sabre et un poignard avant de saisir des lances, des pistolets ou des gourdins.
Certains tiennent même un couteau entre les dents. Ainsi fortement armés, ils sont terrifiants...Au même moment un coup de canon part de l'avant du Kent; c'est le coup de semonce.
L’énorme navire de commerce anglais n’intimide pas les hommes de Surcouf. Ceux-ci ont une confiance aveugle dans leur capitaine ; ils le connaissent et admirent son courage et son intelligence à toute épreuve.La petite Confiance s'élance alors vers l'énorme Kent, celui ci, sûr de sa puissance, fonce vers le petit navire dans l'espoir de le couler... mais la manoeuvre n'a pas fonctionné : au lieu d'entendre un craquement sinistre et de voir les débris du bateau joncher la mer, les Anglais ont la stupéfaction de voir les ennemis monter à bord en hurlant : "à l'abordage !!"
Le premier à prendre pied sur le vaisseau est un Noir nommé Bambou. Armé simplement d'une hache et d'un pistolet il s'est jeté du haut du grand mat au beau milieu des Anglais qui saisis de frayeur le laissent se frayer un sanglant passage à travers les matelots.
Les Anglais sont affolés.
Robert Surcouf se jette à son tour dans la mêlée;
La bataille fait rage: on entend les détonations des canons, des pistolets, les cliquetis des sabres et des épées, le coup sourd des haches, et les cris des combattants .
C'est une pagaille indescriptible, mais notre héros continue à donner des ordres tout en bataillant "tirez les grenades ! donnez du canon!". Soudain, le capitaine anglais s'effondre touché par une grenade.
Il ne verra pas son pavillon tomber aux mains des Français...
Surcouf, lui, a tout vu "le capitaine anglais est tué! le navire est à nous ! pas de quartier!"
Les Anglais fuient sous le pont poursuivis par les Français qui s'empressent de fermer les panneaux sur eux.
Mais le Second anglais, voyant la bataille perdue tente le tout pour le tout, il se précipite vers Surcouf dans l'espoir de le tuer; heureusement, Bambou est là et d'un coup de lance, transperce l'Anglais.
"le Kent est à nous ! Vive la France ! Vive la Nation !"
Bambou est acclamé par les corsaires français, et sera plus tard porté en triomphe pour son courage.
Le lendemain, les deux bateaux mettent cap sur Ceylan, le débarquement des corsaires est un triomphe pour la population française surtout quand, en déchargeant le Kent, on y découvre un véritable trésor : de l'or et de l'argent en barre, des pierres précieuses magnifiques....
Le 31 du mois d'août...
L’audace et la férocité de Surcouf n’hésitant pas à attaquer un tel bateau est connue de tous.
Sa renommée va s’étendre des mers aux océans jusqu'en Angleterre et fera trembler de peur les marins anglais. Afin que tous se souviennent de cet exploit extraordinaire, les matelots composent une chanson.
Désormais, quand les Anglais verront apparaître les voiles du Corsaire Malouin, nombreux seront ceux qui se rendront sans même livrer bataille…La couronne d'Angleterre, furieuse et déconfite, met la tête de Surcouf à plus de 5 millions de francs...
"Ils me prisent bien haut mais ils ne m'ont pas encore..." dira Surcouf en apprenant la nouvelle.
La légende de Surcouf commence...
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2. SURCOUF Charles Joseph Ange, Génération II |
Fils de SURCOUF Robert Charles - 4 - Né le lundi 5 juin 1702 à saint Malo (35). Décédé le mardi 28 septembre 1756 à saint Malo (35) à l'âge de 54 ans. et de PITOT de LA BEAUJARDIÈRE Françoise Charlotte Marguerite - 5 - Quatrième enfant de Robert et Françoise. A sa naissance, son père était âgé de 37 ans. Né le dimanche 2 août 1739 à saint Malo (35) Décédé le dimanche 18 janvier 1818 Professions : Sieur de boisgris |
Il a épousé à l'âge de 24 ans, le mercredi 1er août 1764 à saint Malo (35), TRUCHOT DE LA CHESNAIE Rose Jeanne Julienne - 3 -, fille de TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas Joseph - 6 - et de de PORCON de LA BARBINAIS Guillemette - 7 - Née le dimanche 22 juillet 1708 à saint-Malo (35). Premier enfant de Nicolas et Guillemette. A sa naissance, sa mère était âgée de 38 ans. |
9 enfants sont nés de cette union : o SURCOUF Charles Joseph Robert Né le lundi 10 juin 1765 à saint Malo (35). Marié avec OLLIVIER Louise Adélaïde |
o SURCOUF Rose Françoise Angélique Née le lundi 13 avril 1767 à saint Malo (35). |
o SURCOUF Bertrand Joseph Né le lundi 6 mars 1769 à saint Malo (35). Décédé en 1770 à l'âge de 10 mois. |
o SURCOUF Nicolas Auguste Né le lundi 27 août 1770 à saint Malo (35). Marié en 1801 avec FROMPY Josephine Marie |
o SURCOUF Yves Nicolas Né le dimanche 17 mai 1772 à saint Malo (35). Décédé en 1773 à l'âge de 8 mois. |
o SURCOUF Robert - 1 - |
o SURCOUF Joseph Marie Né le vendredi 23 août 1776 à Cancale (35). Décédé en 1777 à l'âge de 4 mois. |
o SURCOUF Rose Hélène Née le jeudi 26 octobre 1780 à Cancale (35). |
o SURCOUF Noël Nicolas Né le mercredi 27 décembre 1786 à saint Malo (35). |
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3. TRUCHOT DE LA CHESNAIE Rose Jeanne Julienne, Génération II |
Fille de TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas Joseph - 6 - et de de PORCON de LA BARBINAIS Guillemette - 7 - Née le dimanche 22 juillet 1708 à saint-Malo (35). Premier enfant de Nicolas et Guillemette. A sa naissance, sa mère était âgée de 38 ans. Née le lundi 29 août 1746 Décédée le mardi 25 janvier 1825 |
Elle a épousé à l'âge de 17 ans, le mercredi 1er août 1764 à saint Malo (35), SURCOUF Charles Joseph Ange - 2 -, fils de SURCOUF Robert Charles - 4 - Né le lundi 5 juin 1702 à saint Malo (35). Décédé le mardi 28 septembre 1756 à saint Malo (35) à l'âge de 54 ans. et de PITOT de LA BEAUJARDIÈRE Françoise Charlotte Marguerite - 5 - Quatrième enfant de Robert et Françoise. A sa naissance, son père était âgé de 37 ans. |
9 enfants sont nés de cette union : o SURCOUF Charles Joseph Robert Né le lundi 10 juin 1765 à saint Malo (35). Marié avec OLLIVIER Louise Adélaïde |
o SURCOUF Rose Françoise Angélique Née le lundi 13 avril 1767 à saint Malo (35). |
o SURCOUF Bertrand Joseph Né le lundi 6 mars 1769 à saint Malo (35). Décédé en 1770 à l'âge de 10 mois. |
o SURCOUF Nicolas Auguste Né le lundi 27 août 1770 à saint Malo (35). Marié en 1801 avec FROMPY Josephine Marie |
o SURCOUF Yves Nicolas Né le dimanche 17 mai 1772 à saint Malo (35). Décédé en 1773 à l'âge de 8 mois. |
o SURCOUF Robert - 1 - |
o SURCOUF Joseph Marie Né le vendredi 23 août 1776 à Cancale (35). Décédé en 1777 à l'âge de 4 mois. |
o SURCOUF Rose Hélène Née le jeudi 26 octobre 1780 à Cancale (35). |
o SURCOUF Noël Nicolas Né le mercredi 27 décembre 1786 à saint Malo (35). |
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4. SURCOUF Robert Charles1 , Génération III |
Fils de SURCOUF Robert II - 8 - Né le dimanche 4 janvier 1671 à saint Malo (35). Décédé le mardi 10 septembre 1720 à La-Vallée-en-Saint-Énogat à l'âge de 49 ans. et de MALLET Bertranne Françoise - 9 - Troisième enfant de Robert et Bertranne. A sa naissance, son père était âgé de 31 ans. Né le lundi 5 juin 1702 à saint Malo (35) Décédé le mardi 28 septembre 1756 à saint Malo (35) Professions : Sieur de la maisonneuve, Armateur |
Il a épousé à l'âge de 23 ans, le mardi 6 novembre 1725 à saint Malo (35), PITOT de LA BEAUJARDIÈRE Françoise Charlotte Marguerite - 5 -, fille de PITOT de LA BEAUJARDIÈRE Charles - 10 - Né le samedi 1er juillet 1673 à Tinchebray (50). Décédé le lundi 16 août 1762 à saint-Malo (35) à l'âge de 89 ans. et de PATARD de LA CHERBONNIERE Marguerite - 11 - Née en décembre 1679 à Fougères (35). Décédée le samedi 17 juillet 1751 à saint-Malo (35) à l'âge de 71 ans. Premier enfant de Charles et Marguerite. |
6 enfants sont nés de cette union : o SURCOUF Marguerite Marie Née le lundi 24 janvier 1729. Marié avec GARNIER François Marie |
o SURCOUF Bertranne Françoise Marié avec GAILLARD Nicolas Décédée le mercredi 1er août 1810. |
o SURCOUF Robert Charles Bertrand Né le jeudi 28 mai 1733. Marié en janvier 1789 avec PERRÉE du COUDRAY Reine Cécile |
o SURCOUF Charles Joseph Ange - 2 - |
o SURCOUF Julienne Guillemette Née le dimanche 25 octobre 1744. Marié avec GARNIER DESMORIERS Guillaume-Hyacinthe |
o SURCOUF Bertranne Née le samedi 3 juillet 1762. Marié avec POTIER de LA HOUSSAYE Thomas-Marie |
1 Note Générale :
Contrat de 1739
contrat d’achat d’une maison rue des Bas Sablons à Saint-Servan 9-6-1739
par Robert SURCOUF
9 juin 1739
_________
Saint-Servan
Inventorié et côté
G 10 pièce
signé MAHEUX
L'an 1739 le 9ème jour du mois de juin aux trois heures de l'après-midi y par-devant nous soussignés notaires du roi gardes nobles et apostoliques héréditaires établis et résidant en la ville de Saint-Malo, fut présent le sieur Robert SURCOUF négociant demeurant en cette ville de Saint-Malo paroisse et diocèse du dit lieu, lequel nous a dit que par contrat judiciaire émané de la juridiction des Réguaires et du vénérable chapitre de Saint-Malo du 20 mars dit an 1739 infirmé et enregistré à Saint-Malo le 2 avril par GRONN qui a reçu la somme de 205 Livres 19 Sols 5 Deniers, il est demeuré adjudicataire des héritages vendus par dame Julienne GUERET veuve et communière de feu Jacques MALLET sur des domaines faisant et agissant tant en son propre nom que comme et en qualité de tutrice et garde des enfants mineurs issus de leur mariage, héritiers purs et simples de leur père, les dits héritages situés en la paroisse de Saint-Servan rue des Bas Sablons, diocèse de Saint-Malo, pour et moyennant la somme de 13010 Livres, et voulant en prendre possession réelle, il nous a requis de nous y transporter, auquel réquisitoire déferant nous dits notaires nous sommes, de nos études, transportés de compagnie du dit sieur SURCOUF en la dite paroisse de Saint-Servan rue des Bas Sablons, où étant et ayant entré dans la maison principale mentionnée au dit contrat judiciaire du 20 mars dernier, donnant sur la dite rue des Bas Sablons le dit sieur SURCOUF a dans tous les appartements qu'elle contient ouvert et fermé les portes et les fenêtres, et dans la salle basse faisant le rez-de-chaussée fait feu et fumée, bu et mangé, et ensuite nous sommes transportés dans les autres appartements d'une maison en plomb joignante dans lesquels ainsi que dans les autres décrits au dit contrat le dit sieur SURCOUF a également ouvert et fermé les portes et les fenêtres, fait feu et fumée, bu et mangé, et dans les cours et jardin planté de plante circuité (1) et environné (2) et généralement dans tous les endroits dépendant de la dite vente fait tous autres actes dénotant une vraie et paisible prise de possession que le dit sieur SURCOUF a accepté sans trouble ni empêchement de personne, de tout quoi nous lui avons rapporté acte sous seing et les nôtres les dits jour et an que devant, ainsi signés SURCOUF, LOUVEL et NOREL notaires royaux et en marge est tout contrôlé à Saint-Malo le 23 juin 1739. Reçu 69 Livres 12 Sols et enregistré les dits jours et an aux décrets volontaires Registre 5ème folio 64 Recto pour quoi reçu 45 Sols sans préjudice des 2 Deniers pour Livres en cas de bannies (3) afin d'appropriement (4). Signé GRONN
signé NOREL signé LOUVEL
notaire royal notaire royal
(1) qui est disposé autour, qui fait le tour.
(2) complètement entouré.
(3) actions de publier une annonce officielle et publique.
(4) se disait dans l'ancienne juridiction de Bretagne, de certains moyens pour s'assurer la propriété d'un bien
(retour)
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5. PITOT de LA BEAUJARDIÈRE Françoise Charlotte Marguerite, Génération III |
Fille de PITOT de LA BEAUJARDIÈRE Charles - 10 - Né le samedi 1er juillet 1673 à Tinchebray (50). Décédé le lundi 16 août 1762 à saint-Malo (35) à l'âge de 89 ans. et de PATARD de LA CHERBONNIERE Marguerite - 11 - Née en décembre 1679 à Fougères (35). Décédée le samedi 17 juillet 1751 à saint-Malo (35) à l'âge de 71 ans. Premier enfant de Charles et Marguerite. |
Elle a épousé le mardi 6 novembre 1725 à saint Malo (35), SURCOUF Robert Charles - 4 -, fils de SURCOUF Robert II - 8 - Né le dimanche 4 janvier 1671 à saint Malo (35). Décédé le mardi 10 septembre 1720 à La-Vallée-en-Saint-Énogat à l'âge de 49 ans. et de MALLET Bertranne Françoise - 9 - Troisième enfant de Robert et Bertranne. A sa naissance, son père était âgé de 31 ans. |
6 enfants sont nés de cette union : o SURCOUF Marguerite Marie Née le lundi 24 janvier 1729. Marié avec GARNIER François Marie |
o SURCOUF Bertranne Françoise Marié avec GAILLARD Nicolas Décédée le mercredi 1er août 1810. |
o SURCOUF Robert Charles Bertrand Né le jeudi 28 mai 1733. Marié en janvier 1789 avec PERRÉE du COUDRAY Reine Cécile |
o SURCOUF Charles Joseph Ange - 2 - |
o SURCOUF Julienne Guillemette Née le dimanche 25 octobre 1744. Marié avec GARNIER DESMORIERS Guillaume-Hyacinthe |
o SURCOUF Bertranne Née le samedi 3 juillet 1762. Marié avec POTIER de LA HOUSSAYE Thomas-Marie |
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6. TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas Joseph, Génération III |
Fils de TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas - 12 - Né le dimanche 25 mars 1663 à saint-Malo (35). et de LEDIEN Jeanne Françoise - 13 - Née le mardi 25 février 1676 à saint-Malo (35). Premier enfant de Nicolas et Jeanne. |
Il a épousé le mardi 12 août 1727 à saint-Malo (35), de PORCON de LA BARBINAIS Guillemette - 7 -, fille de de PORCON de LA BARBINAIS Laurent - 14 - Né le jeudi 30 novembre 1679 à saint-Malo (35). Décédé le lundi 24 mars 1721 à saint-Malo (35) à l'âge de 41 ans. et de PORTIER de LA VILLEBONNIER Jeanne Rose - 15 - Née en 1681. Décédée le mardi 17 novembre 1750 à l'âge de 69 ans. Premier enfant de Laurent et Jeanne. A sa naissance, ses père et mère étaient âgés de 28 ans et 27 ans. |
1 enfant est né de cette union : o TRUCHOT DE LA CHESNAIE Rose Jeanne Julienne - 3 - |
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7. de PORCON de LA BARBINAIS Guillemette, Génération III |
Fille de de PORCON de LA BARBINAIS Laurent - 14 - Né le jeudi 30 novembre 1679 à saint-Malo (35). Décédé le lundi 24 mars 1721 à saint-Malo (35) à l'âge de 41 ans. et de PORTIER de LA VILLEBONNIER Jeanne Rose - 15 - Née en 1681. Décédée le mardi 17 novembre 1750 à l'âge de 69 ans. Premier enfant de Laurent et Jeanne. A sa naissance, ses père et mère étaient âgés de 28 ans et 27 ans. Née le dimanche 22 juillet 1708 à saint-Malo (35) |
Elle a épousé à l'âge de 19 ans, le mardi 12 août 1727 à saint-Malo (35), TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas Joseph - 6 -, fils de TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas - 12 - Né le dimanche 25 mars 1663 à saint-Malo (35). et de LEDIEN Jeanne Françoise - 13 - Née le mardi 25 février 1676 à saint-Malo (35). Premier enfant de Nicolas et Jeanne. |
1 enfant est né de cette union : o TRUCHOT DE LA CHESNAIE Rose Jeanne Julienne - 3 - |
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8. SURCOUF Robert II, Génération IV |
Fils de SURCOUF Robert 1er - 16 - Né le mercredi 22 janvier 1642 à saint Georges de la Rivière (50). et de JAN ; de LA HAMELINAYE Hélène - 17 - Premier enfant de Robert et Hélène. A sa naissance, son père était âgé de 28 ans. Baptisé le samedi 7 novembre 1671 à saint Malo (35) Né le dimanche 4 janvier 1671 à saint Malo (35) Décédé le mardi 10 septembre 1720 à La-Vallée-en-Saint-Énogat Professions : Corsaire du règne de Louis XV |
Il a épousé à l'âge de 26 ans, le mardi 19 novembre 1697 à saint Malo (35), MALLET Bertranne Françoise - 9 -. |
7 enfants sont nés de cette union : o SURCOUF Hélène Bertranne Née le dimanche 11 octobre 1699 à saint Malo (35). |
o SURCOUF Laurence Angélique Pélagie Née le jeudi 10 février 1701 à saint Malo (35). |
o SURCOUF Robert Charles - 4 - |
o SURCOUF Bertrand Jacob Décédé le jeudi 30 septembre 1751. |
o SURCOUF Henry André Né le samedi 15 mai 1706 à saint Malo (35). |
o SURCOUF Hélène Laurence Née le jeudi 27 juin 1709 à saint Malo (35). Décédée le mardi 10 septembre 1776 à l'âge de 67 ans. |
o SURCOUF Laurence Bertranne Née le jeudi 19 mars 1711 à saint Malo (35). |
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9. MALLET Bertranne Françoise, Génération IV |
Elle a épousé le mardi 19 novembre 1697 à saint Malo (35), SURCOUF Robert II - 8 -, fils de SURCOUF Robert 1er - 16 - Né le mercredi 22 janvier 1642 à saint Georges de la Rivière (50). et de JAN ; de LA HAMELINAYE Hélène - 17 - Premier enfant de Robert et Hélène. A sa naissance, son père était âgé de 28 ans. |
7 enfants sont nés de cette union : o SURCOUF Hélène Bertranne Née le dimanche 11 octobre 1699 à saint Malo (35). |
o SURCOUF Laurence Angélique Pélagie Née le jeudi 10 février 1701 à saint Malo (35). |
o SURCOUF Robert Charles - 4 - |
o SURCOUF Bertrand Jacob Décédé le jeudi 30 septembre 1751. |
o SURCOUF Henry André Né le samedi 15 mai 1706 à saint Malo (35). |
o SURCOUF Hélène Laurence Née le jeudi 27 juin 1709 à saint Malo (35). Décédée le mardi 10 septembre 1776 à l'âge de 67 ans. |
o SURCOUF Laurence Bertranne Née le jeudi 19 mars 1711 à saint Malo (35). |
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10. PITOT de LA BEAUJARDIÈRE Charles, Génération IV |
Né le samedi 1er juillet 1673 à Tinchebray (50) Décédé le lundi 16 août 1762 à saint-Malo (35) Professions : Sieur de la Beaujardière, notaire à Saint Malo |
Il a épousé à l'âge de 30 ans, le mardi 27 novembre 1703 à saint-Malo (35), PATARD de LA CHERBONNIERE Marguerite - 11 -. |
2 enfants sont nés de cette union : o PITOT de LA BEAUJARDIÈRE Françoise Charlotte Marguerite - 5 - |
o PITOT Marie Anne Née en 1716. Marié le mardi 11 juin 1743 à saint-Malo (35) avec HUGON Nicolas François |
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11. PATARD de LA CHERBONNIERE Marguerite, Génération IV |
Décédée le samedi 17 juillet 1751 à saint-Malo (35) Née en décembre 1679 à Fougères (35) |
Elle a épousé à l'âge de 23 ans, le mardi 27 novembre 1703 à saint-Malo (35), PITOT de LA BEAUJARDIÈRE Charles - 10 -. |
2 enfants sont nés de cette union : o PITOT de LA BEAUJARDIÈRE Françoise Charlotte Marguerite - 5 - |
o PITOT Marie Anne Née en 1716. Marié le mardi 11 juin 1743 à saint-Malo (35) avec HUGON Nicolas François |
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12. TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas, Génération IV |
Fils de TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas - 18 - Né le dimanche 28 décembre 1631 à saint-Malo (35). et de TRUBLET Jeanne - 19 - Premier enfant de Nicolas et Jeanne. A sa naissance, son père était âgé de 31 ans. Né le dimanche 25 mars 1663 à saint-Malo (35) |
Uni avec LEDIEN Jeanne Françoise - 13 -, fille de LEDIEN Jean - 20 - et de BLESVE Perrine - 21 - Née le dimanche 21 janvier 1657 à saint-Malo (35). Premier enfant de Jean et Perrine. A sa naissance, sa mère était âgée de 19 ans. |
1 enfant est né de cette union : o TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas Joseph - 6 - |
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13. LEDIEN Jeanne Françoise, Génération IV |
Fille de LEDIEN Jean - 20 - et de BLESVE Perrine - 21 - Née le dimanche 21 janvier 1657 à saint-Malo (35). Premier enfant de Jean et Perrine. A sa naissance, sa mère était âgée de 19 ans. Née le mardi 25 février 1676 à saint-Malo (35) |
Unie avec TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas - 12 -, fils de TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas - 18 - Né le dimanche 28 décembre 1631 à saint-Malo (35). et de TRUBLET Jeanne - 19 - Premier enfant de Nicolas et Jeanne. A sa naissance, son père était âgé de 31 ans. |
1 enfant est né de cette union : o TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas Joseph - 6 - |
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14. de PORCON de LA BARBINAIS Laurent, Génération IV |
Fils de de PORCON du VERGER Jean - 22 - Né le jeudi 30 juin 1644 à saint-Malo (35). Décédé en 1680 à l'âge de 35 ans. et de BINET de LA HAUTE-MAISON Jeanne - 23 - Née en 1652. Premier enfant de Jean et Jeanne. A sa naissance, ses père et mère étaient âgés de 35 ans et 27 ans. Né le jeudi 30 novembre 1679 à saint-Malo (35) Décédé le lundi 24 mars 1721 à saint-Malo (35) |
Uni avec PORTIER de LA VILLEBONNIER Jeanne Rose - 15 -, fille de PORTIER du PETIT-PONT N - 24 - et de LASQUETIER Marie - 25 - Née en 1658. Décédée en 1731 à l'âge de 73 ans. Premier enfant de N et Marie. A sa naissance, sa mère était âgée de 23 ans. |
1 enfant est né de cette union : o de PORCON de LA BARBINAIS Guillemette - 7 - |
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15. PORTIER de LA VILLEBONNIER Jeanne Rose, Génération IV |
Fille de PORTIER du PETIT-PONT N - 24 - et de LASQUETIER Marie - 25 - Née en 1658. Décédée en 1731 à l'âge de 73 ans. Premier enfant de N et Marie. A sa naissance, sa mère était âgée de 23 ans. Née en 1681 Décédée le mardi 17 novembre 1750 |
Unie avec de PORCON de LA BARBINAIS Laurent - 14 -, fils de de PORCON du VERGER Jean - 22 - Né le jeudi 30 juin 1644 à saint-Malo (35). Décédé en 1680 à l'âge de 35 ans. et de BINET de LA HAUTE-MAISON Jeanne - 23 - Née en 1652. Premier enfant de Jean et Jeanne. A sa naissance, ses père et mère étaient âgés de 35 ans et 27 ans. |
1 enfant est né de cette union : o de PORCON de LA BARBINAIS Guillemette - 7 - |
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16. SURCOUF Robert 1er, Génération V |
Fils de SURCOUF Marin Né le mercredi 22 avril 1609 à sortosville en Beaumont (50). Décédé le lundi 13 novembre 1690 à saint Malo (35) à l'âge de 81 ans. et de le MARCANT Catherine Née en 1603 à saint Georges de la Rivière (50). Décédée le vendredi 13 novembre 1693 à saint-Malo (35) à l'âge de 90 ans. Deuxième enfant de Marin et Catherine. A sa naissance, ses père et mère étaient âgés de 32 ans et 39 ans. Né le mercredi 22 janvier 1642 à saint Georges de la Rivière (50) |
Il a épousé à l'âge de 27 ans, le dimanche 3 mars 1669 à saint Malo (35), JAN ; de LA HAMELINAYE Hélène - 17 -. |
1 enfant est né de cette union : o SURCOUF Robert II - 8 - |
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17. JAN ; de LA HAMELINAYE Hélène, Génération V |
Elle a épousé le dimanche 3 mars 1669 à saint Malo (35), SURCOUF Robert 1er - 16 -, fils de SURCOUF Marin Né le mercredi 22 avril 1609 à sortosville en Beaumont (50). Décédé le lundi 13 novembre 1690 à saint Malo (35) à l'âge de 81 ans. et de le MARCANT Catherine Née en 1603 à saint Georges de la Rivière (50). Décédée le vendredi 13 novembre 1693 à saint-Malo (35) à l'âge de 90 ans. Deuxième enfant de Marin et Catherine. A sa naissance, ses père et mère étaient âgés de 32 ans et 39 ans. |
1 enfant est né de cette union : o SURCOUF Robert II - 8 - |
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18. TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas, Génération V |
Fils de TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Guillaume Né le jeudi 26 juillet 1601 à saint-Malo (35). Décédé en 1640 à l'âge de 38 ans. et de QUESTIN Anne Premier enfant de Guillaume et Anne. A sa naissance, son père était âgé de 30 ans. Né le dimanche 28 décembre 1631 à saint-Malo (35) |
Il a épousé à l'âge de 29 ans, le lundi 15 août 1661 à saint-Malo (35), TRUBLET Jeanne - 19 -. |
1 enfant est né de cette union : o TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas - 12 - |
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19. TRUBLET Jeanne, Génération V |
Elle a épousé le lundi 15 août 1661 à saint-Malo (35), TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas - 18 -, fils de TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Guillaume Né le jeudi 26 juillet 1601 à saint-Malo (35). Décédé en 1640 à l'âge de 38 ans. et de QUESTIN Anne Premier enfant de Guillaume et Anne. A sa naissance, son père était âgé de 30 ans. |
1 enfant est né de cette union : o TRUCHOT DE LA CHESNAIE ; TRUCHOT de LA CHESNAYS Nicolas - 12 - |
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20. LEDIEN Jean, Génération V |
Il a épousé le mardi 5 septembre 1673, BLESVE Perrine - 21 -, fille de BLESVE du PREAU René Né en 1611. Décédé le samedi 29 octobre 1678 à saint-Malo (35) à l'âge de 67 ans. et de JANVRAIN Laurence Premier enfant de René et Laurence. A sa naissance, son père était âgé de 46 ans. |
1 enfant est né de cette union : o LEDIEN Jeanne Françoise - 13 - |
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21. BLESVE Perrine, Génération V |
Fille de BLESVE du PREAU René Né en 1611. Décédé le samedi 29 octobre 1678 à saint-Malo (35) à l'âge de 67 ans. et de JANVRAIN Laurence Premier enfant de René et Laurence. A sa naissance, son père était âgé de 46 ans. Née le dimanche 21 janvier 1657 à saint-Malo (35) |
Elle a épousé à l'âge de 16 ans, le mardi 5 septembre 1673, LEDIEN Jean - 20 -. |
1 enfant est né de cette union : o LEDIEN Jeanne Françoise - 13 - |
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22. de PORCON du VERGER Jean, Génération V |
Fils de de PORCON de LA BARBINAIS Jean Né le mercredi 20 avril 1611 à saint-Malo (35). Décédé le vendredi 22 novembre 1675 à saint-Malo (35) à l'âge de 64 ans. et de le SAULNIER Roberte Premier enfant de Jean et Roberte. A sa naissance, son père était âgé de 33 ans. Né le jeudi 30 juin 1644 à saint-Malo (35) Décédé en 1680 |
Il a épousé à l'âge de 29 ans, le dimanche 7 janvier 1674 à saint-Malo (35), BINET de LA HAUTE-MAISON Jeanne - 23 -, fille de BINET de LA JAMAYE Jean et de SOLMANCHE Guillemette Premier enfant de Jean et Guillemette. |
1 enfant est né de cette union : o de PORCON de LA BARBINAIS Laurent - 14 - |
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23. BINET de LA HAUTE-MAISON Jeanne, Génération V |
Fille de BINET de LA JAMAYE Jean et de SOLMANCHE Guillemette Premier enfant de Jean et Guillemette. Née en 1652 |
Elle a épousé à l'âge de 22 ans, le dimanche 7 janvier 1674 à saint-Malo (35), de PORCON du VERGER Jean - 22 -, fils de de PORCON de LA BARBINAIS Jean Né le mercredi 20 avril 1611 à saint-Malo (35). Décédé le vendredi 22 novembre 1675 à saint-Malo (35) à l'âge de 64 ans. et de le SAULNIER Roberte Premier enfant de Jean et Roberte. A sa naissance, son père était âgé de 33 ans. |
1 enfant est né de cette union : o de PORCON de LA BARBINAIS Laurent - 14 - |
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24. PORTIER du PETIT-PONT N, Génération V |
Fils de PORTIER du PETIT-PONT Jean et de GUERIN Jeanne Premier enfant de Jean et Jeanne. |
Uni avec LASQUETIER Marie - 25 -, fille de LASQUETIER de LISLI Louis Paul et de FAGUES Hélène Premier enfant de Louis et Hélène. |
1 enfant est né de cette union : o PORTIER de LA VILLEBONNIER Jeanne Rose - 15 - |
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25. LASQUETIER Marie, Génération V |
Fille de LASQUETIER de LISLI Louis Paul et de FAGUES Hélène Premier enfant de Louis et Hélène. Née en 1658 Décédée en 1731 |
Unie avec PORTIER du PETIT-PONT N - 24 -, fils de PORTIER du PETIT-PONT Jean et de GUERIN Jeanne Premier enfant de Jean et Jeanne. |
1 enfant est né de cette union : o PORTIER de LA VILLEBONNIER Jeanne Rose - 15 - |
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