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Fils de de
REVIERS Richard
- 145 - |
1
enfant est né de mère non dénommée :
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Fils de de CAMPROND Enguerrand III |
1
enfant est né de mère non dénommée :
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Fils de DE
CARDONA Guilhem
Ier le Riche - 147 - |
Il a épousé le mercredi 20 septembre 1217, |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Profession : Vicomte de Cardona.
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Fils de DE
COMBORN Archambaud
VI - 148 - |
Il a épousé en 1207, |
1
enfant est né de cette union : |
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|
Fils de DE SCORAILLES Raoul |
Uni avec X Béatrix |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Puîné.
Profession : Coseigneur de Scorailles (15).
Cité en 1175. Décédé avant 1212, date du mariage de sa fille.
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Fils de DE
PÉRIGORD Archambaud
II - 151 - |
Uni avec X Gaillarde |
Uni avec X Brunissende |
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1 Note Générale :
Profession : Comte de Périgord.
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|
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|
Fils de DE LA VALETTE Jourdain Ier |
Il a épousé après 1249, |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Profession : Chevalier Seigneur de Valette, Cuzoul, Saint-Igne et Prévenquières Commandant du château de Malleville près de Villefranche Sénéchal du Périgord en 1258.
Il participe à la croisade en 1248 avec Saint-Louis.
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Fils de DE
FOIX Roger-Bernard
II le Grand - 153 - |
Il a épousé le mardi 17 février 1237, 2
|
1 Note Générale :
Naissance: après 1203
Profession : Vicomte de Castelbon, Seigneur d'Andorre.
-----------------
2 Note Générale :
17/2
tmtmtmtmtmtmtmt
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|
Fils de DE COMMINGES Bernard V |
Il a épousé le samedi 26 août 1245, |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Décédé après le 10 ou le 20 mars 1295.
Profession : Comte de Comminges,
Seigneur de Muret et de Samatan.
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|
Fils de DE CAUSSADE Ratier III |
Uni avec X Magne |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Il est attesté avec Raymond de CAUSSADE, son oncle (ce dernier encore attesté en mars 1246), en octobre 1242.
En 1248, il est à Saint-Jean d'Acre.
Le 12 décembre 1249, il prête serment à la reine Blanche de Castille.
Le 23 juin 1269, il est attesté avec ses frères.
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|
|
||
|
215. de FRANCE ; CAPÉTIEN Louis IX Dit Saint Louis1 , Génération IX |
Fils de de FRANCE Louis VIII Dit Le Lion |
Il a épousé à l'âge de 19 ans, le
mardi 25 avril 1234 à SENS
(89), |
12
enfants sont nés de cette union : |
o
de
FRANCE Philippe
III le
Hardi
- 286 - |
o
de
VALOIS ; CAPET Jean-Tristan
- 287 - |
o
d'ALENÇON
; CAPET Pierre
- 289 - |
o
CAPET
Marguerite
- 292 - |
o
de
CLERMONT ; CAPET Robert
- 293 - |
o
de
FRANCE ; CAPET Agnès
- 294 - |
1 Note Générale :
Louis IX ou Saint Louis (1214-1270), roi de France (1226-1270), fils et successeur de Louis VIII le Lion, figure majeure du Moyen Âge jouissant d'une immense popularité.
Né à Poissy le 25 avril 1214, Louis n'avait que douze ans à la mort de son père ; sa mère, Blanche de Castille, fille d'Alphonse IX de Castille, assuma la régence pendant sa minorité. Cette période fut l'occasion pour certains seigneurs de chercher à renforcer un pouvoir que les rois précédents s'étaient attachés à réduire à leur profit. L'énergique Blanche de Castille, dont le premier geste politique fut de faire couronner son fils à Reims, le 29 novembre 1226, s'employa à soumettre les vassaux rebelles, notamment Philippe Hurepel, comte de Boulogne, et Pierre Mauclerc, duc de Bretagne, dont elle ne vint à bout qu'en 1230. Le 25 avril 1234, la majorité du roi fut proclamée et, la même année, il épousa Marguerite, fille de Raimond-Bérenger IV, comte de Provence, dont il eut onze enfants. Blanche dirigea cependant les affaires du royaume jusqu'en 1242. Face à un soulèvement des barons de l'Ouest et du Midi soutenu par le roi d'Angleterre Henri III, Louis IX vainquit ce dernier à Taillebourg et à Saintes (1242). Âgé de vingt-neuf ans, le roi jouissait déjà d'un prestige et d'une autorité indiscutables, que ses victoires successives et sa personnalité, sa bonté, sa justice et sa très grande piété avaient contribué à forger. Vis-à-vis des humbles, il se montrait d'une extrême attention, ce qui lui valut un véritable culte ; ses vertus thaumaturgiques étaient déjà louées de son vivant.
Confiant la régence à sa mère, il s'embarqua à Aigues-Mortes pour l'Égypte et conduisit la septième croisade. Il prit Damiette (1249) mais fut vaincu et fait prisonnier à Mansoura (1250). Après avoir été libéré contre rançon et restitution de Damiette, il séjourna quatre ans en Syrie, où il établit des camps fortifiés et racheta un très grand nombre de captifs. La mort de Blanche de Castille (1252) le contraignit au retour.
Malgré la destruction de son armée, le roi n'avait rien perdu de sa grandeur. Rentré en France, il établit de plus en plus son pouvoir, aussi bien dans les limites du royaume qu'à travers l'Europe. Il signa un traité avec le roi d'Aragon, Jacques Ier, qui abandonna ses prétentions sur la Provence et le Languedoc en échange de la Cerdagne et du Roussillon (traité de Corbeil, 1258). Puis, par le traité de Paris (1259), il échangea avec l'Angleterre le Quercy, le Limousin et le Périgord contre la Normandie, le Maine, l'Anjou, la Touraine et le Poitou, réglant ainsi durablement un conflit engagé depuis Philippe Auguste et Jean sans Terre. Henri III redevint alors l'homme-lige du roi de France en tant que duc d'Aquitaine. À l'intérieur du royaume, l'œuvre de Louis IX ne fut pas moins remarquable que sa diplomatie. Son règne fut marqué par un développement considérable du pouvoir royal et par l'apparition d'un État qui se voulait au service de tous, comme en témoignent les célèbres Enquêtes de 1247 et l'ordonnance de réformation de 1254. Son action en matière judiciaire contribua également au prestige de Louis IX, qui institua la «Quarantaine-le- Roi», dont le but était de supprimer les guerres privées qui, trop souvent, ravageaient les provinces : elle imposait aux belligérants un délai de réflexion propice à l'ouverture de négociations. En conséquence, l'ordonnance de 1260 substitua à certaines coutumes médiévales des formes de justice plus modernes et plus équitables. D'autre part, Louis IX introduisit la possibilité, pour tous les justiciables, d'en appeler au roi. Le monopole et la puissance des féodaux en étaient amoindris d'autant.
Il est peu de domaines où Louis IX ne soit pas intervenu. L'ordonnance de 1263 assura la diffusion de la monnaie royale sur tout le territoire. Il réforma l'antique cour féodale en dissociant sa fonction de règlement des affaires judiciaires de celle de contrôle de la gestion des officiers et de tenue de la comptabilité. Il fut ainsi à l'origine du Parlement et de la Cour des comptes. Par l'intermédiaire d'Étienne Boileau, qu'il nomma prévôt de Paris, il favorisa l'organisation et la codification des métiers de la capitale.
Bien que la croisade de 1248 eût été un grave échec, Saint Louis n'avait pas renoncé à retourner en Palestine. La décision fut officiellement prise le 24 mars 1267. Pendant les trois années qui suivirent, il déploya dans les préparatifs la même activité inlassable que lors de la précédente expédition. Malheureusement, celle-ci fut encore plus désastreuse. Le roi avait choisi Tunis comme cible principale dans le but, semble-t-il, d'attaquer l'Égypte pour venger la défaite de Mansoura. Le départ eut lieu d'Aigues-Mortes, le 2 juillet 1270. Le 17, la flotte débarquait devant Carthage, qui ne tarda pas à se rendre. Plutôt que de s'acheminer en direction de Tunis, le roi préféra attendre les renforts de son frère Charles d'Anjou. À la fin du mois de juillet, la peste se déclara dans les rangs de l'armée. Louis IX mourut le 25 août, au moment même de l'arrivée de son frère.
Son fils Philippe III le Hardi lui succéda. Louis, monarque et chrétien fervent, fut canonisé par le pape Boniface VIII en 1297. L'époque de Saint Louis représente incontestablement un apogée dans l'histoire médiévale française. Après les révoltes féodales du début de son règne, le roi a su trouver un équilibre à peu près parfait entre la monarchie et l'organisation féodale. Ses réalisations, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du royaume, ont été subordonnées à une exigence de modération et de justice. Il manifesta cependant une extrême rigueur à l'encontre des communautés juives et favorisa l'Inquisition. Le règne de Louis IX coïncide avec une certaine plénitude de l'art et de la pensée : enseignement de saint Thomas d'Aquin à la Sorbonne, construction de la Sainte-Chapelle (1257), dont les vitraux retraceront sa vie, sculptures de la façade de la cathédrale de Reims, édification ou rénovation des grandes cathédrales (Paris, Rouen, Amiens, Beauvais, Auxerre, Bourges, etc.), toutes réalisations auxquelles le roi apporta une attention personnelle.
"Louis IX," Encyclopédie® Microsoft® Encarta 2000. © 1993-1999 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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http://www.cathares.org/acteurs.html
Louis IX (saint Louis) (1214-1270) Ecrase les coalitions féodales, renforce la royauté française en Languedoc.
Organise la huitième et dernière croisade, meurt à Tunis.
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||
|
Fils de de FRANCE Louis VIII Dit Le Lion |
Il a épousé à l'âge de 21 ans, en
1237, |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
d'ARTOIS
Robert II Le
Noble
- 296 - |
1 Note Générale :
Maison d'Artois.
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|
Fils de de FRANCE Louis VIII Dit Le Lion |
Il a épousé à l'âge de 21 ans, en
1241, |
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Fille de de FRANCE Louis VIII Dit Le Lion |
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||
|
Fils de de FRANCE Louis VIII Dit Le Lion |
Il a épousé en premières noces à
l'âge de 18 ans, en 1246, |
1
enfant est né de cette union : |
Il a épousé en deuxièmes noces vers 1268,
|
|
1 Note Générale :
Charles Ier de Sicile
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Pour les articles homonymes, voir Charles et Charles d'Anjou.
Premier blason de Charles d'Anjou, avant 1246. C'est l'écu au fleurs de lys, brisé avec une bordure chargé de châteaux, ceux-ci faisant référence à la Castille, pays d'origine de sa mère
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Premier blason de Charles d'Anjou, avant 1246. C'est l'écu au fleurs de lys, brisé avec une bordure chargé de châteaux, ceux-ci faisant référence à la Castille, pays d'origine de sa mère
Charles Ier, couramment appelé Charles Ier d'Anjou (mars 1227 - 7 janvier 1285)
* Roi de Sicile de 1266 à 1282
* Roi de Naples de 1266 à 1285
* Roi titulaire de Jérusalem de 1278 à 1285
* Roi titulaire d'Albanie de 1267 à 1285
* Prince titulaire d'Achaïe de 1272 à 1285
* Comte d'Anjou de 1246 à 1285
* Comte de Provence de 1246 à 1285
* comte du Maine de 1246 à 1285
Sommaire
[masquer]
* 1 Généalogie
* 2 Biographie
* 3 Titres
* 4 Mariages et enfants
* 5 Source partielle
Généalogie [modifier]
Il est le fils de Louis VIII le Lion et Blanche de Castille.
Biographie [modifier]
En 1246, il change complètement de blason
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En 1246, il change complètement de blason
En 1246, il épousa Béatrice de Provence (1234-1267), comtesse de Provence et de Forcalquier (1245-1267), fille du comte Raymond Bérenger V et de Béatrix de Savoie. Par ce mariage, il devint lui-même comte de Provence et comte de Forcalquier (1246-1267), titres qui continuèrent à lui être donnés par courtoisie après son veuvage et son remariage.
À l'occasion de ce premier mariage, son frère le roi de France Louis IX dit saint Louis le créa comte d'Anjou et comte du Maine (1246-1285), créant de ce fait la seconde dynastie angevine.
En 1248, il participe, au côté de son frère Saint Louis, à la septième croisade. Il suivit son frère en Égypte et fut fait prisonnier comme lui après la bataille de Mansourah (1250). Rendu à la liberté, il vint gouverner la Provence dont il avait hérité par sa femme, Béatrix, fille de Raymond-Béranger. En 1264, le pape Urbain IV l'appela à combattre Manfred de Hohenstaufen, roi de Naples et de Sicile, qui avait encouru la disgrâce du Saint-Siège, et lui donna la couronne de ce prince. Charles d'Anjou fut investi du royaume de Sicile par le pape Clément IV, en contrepartie de l'expulsion de Manfred de Hohenstaufen, fils bâtard de l'empereur Frédéric II. Il réussit en effet à s'emparer du royaume de Naples en battant Manfred est vaincu lors de la Bataille de Bénévent en 1266.
En 1268, il épousa en secondes noces Marguerite de Bourgogne (1248-1308), comtesse de Tonnerre (1273-1293), fille d'Eudes de Bourgogne et de Mathilde II de Bourbon, sans postérité connue de cette union.
Il battit le neveu de Manfred, Conradin à Tagliacozzo (1268) ; mais il souilla sa victoire par ses cruautés. Charles d'Anjou prit possession des deux parties (insulaire et péninsulaire) du royaume de Sicile, mais il rendit son gouvernement tellement odieux aux Siciliens, que ceux-ci guidés par Jean de Procida, conspirèrent contre lui : l'an 1282, tous les Français qui se trouvaient dans Palerme, à l'exception notable de Guillaume des Porcellets (Chambellan de Charles d'Anjou) en considération de sa droiture et de sa vertu, furent massacrés le lundi de Pâques, à l'heure de vêpres, ce qui a fait nommer ce massacre la révolte dite des Vêpres Siciliennes.
En 1277, il achète des droits sur le royaume de Jérusalem
Agrandir
En 1277, il achète des droits sur le royaume de Jérusalem
Charles perdit la Sicile par suite de cet événement, mais il resta maître du royaume de Naples. Le roi Pierre III d'Aragon, gendre de Manfred de Hohenstaufen se proclama roi de Sicile, mais n'ayant la souveraineté que sur la seule île de Sicile, tandis que Charles d'Anjou se réfugiait à Naples, dans la péninsule italienne, créant ainsi ce que, par commodité, on a coutume d'appeler le royaume de Naples (alors que son vrai titre est resté roi de Sicile).
Charles d'Anjou reçut aussi les titres fictifs de roi d'Albanie (1272) et roi de Jérusalem (1278-1285).
Depuis qu'il avait été appelé par le pape en 1265 afin de contrer les ambitions de Manfred sur la Sicile et qu'il ait été couronné, Charles Ier d'Anjou n'avait de cesse que d'ambitionner de reprendre à son compte les ambitions latines sur l'empire byzantin. En 1267 il mariait son fils Philippe avec Isabelle, la fille de Guillaume d'Achaïe. Il était prévu que le couple hériterait de la principauté d'Achaïe à la mort de Guillaume. Par ailleurs il s'était engagé à restaurer Baudouin sur le trône de Constantinople, en échange de la suzeraineté sur l'Achaïe, nombre d'îles de l'Égée, et le tiers des conquêtes à venir, à la seule exclusion de la ville de Constantinople.
Pour compléter son dispositif, Charles n'hésita pas à conclure une alliance avec les Seldjoukides, le roi d'Arménie, et même le Khan des Mongols... En 1269 il réussit à conclure un accord avec Gènes, pourtant alliée de Byzance.
Après le désastre de Tunis et la mort de son frère le roi de France Louis IX, de retour en Sicile, alors qu'il allait lancer une expédition maritime contre Byzance, sa flotte fut détruite par une tempête extraordinaire.
Philippe d'Anjou étant mort en 1277 et Guillaume d'Achaïe étant mort en 1278, Charles d'Anjou était devenu sur le papier l'héritier de l'Achaïe et le suzerain des terres encore aux mains des latins. Afin de parfaire cette situation, à l'automne 1280 il envoya par voie de terre une armée forte de 8000 hommes afin d'investir la forteresse byzantine de Bérat.
Le siège dura jusqu'en mars 1281, puis les troupes impériales commandées par Tarchaniotès, le neveu de l'empereur, vinrent attaquer les troupes de Charles. La défaite des troupes latines fut totale, la plus grande partie des troupes angevines fut tuée ou capturée. Charles suscita la candidature de Martin IV, qui fut le pape des ambitions françaises, mais ses excommunications ne purent empêcher les Vêpres Siciliennes de 1282.
Il décède le 7 janvier 1285 à Foggia, Pouilles du Nord, Italie.
Titres [modifier]
1) en apanage, à son mariage, il est fait par son frère Saint Louis comte d'Anjou et comte du Maine (1246-1285)
2) par son mariage, comte de Provence et de Forcalquier (1246-1267)
3) par octroi du pape, en 1266, roi de Sicile (1266-1285)
4) par accord avec Baudouin II de Constantinople, en 1267, roi titulaire d'Albanie et prince titulaire d'Achaïe (1272-1285)
5) par rachat, de Marie d'Antioche, en 1277, roi titulaire de Jérusalem (1278-1285)
Mariages et enfants [modifier]
De son premier mariage avec Béatrice de Provence (1234-1267), comtesse de Provence et de Forcalquier, il eut :
* Louis (1248 † 1248)
* Blanche (1250 † 1269), mariée en 1265 avec Robert III de Dampierre (1249 † 1322), comte de Flandre
* Béatrice (1252 † 1275), mariée en 1273 à Philippe Ier de Courtenay (1243 † 1283), empereur titulaire de Constantinople
* Charles II de Naples (1254 † 1309), comte d'Anjou et du Maine, roi de Naples
* Philippe (1256 † 1277), prince d'Achaïe, marié en 1271 avec Isabelle de Villehardouin (1263 † 1312), princesse d'Achaïe et de Morée
* Robert (1258 † 1265)
* Isabelle (1261 † 1300), marié à Ladislas IV (1262 † 1290), roi de Hongrie
Son second
mariage avec Marguerite de Bourgogne (1248-1308), comtesse de
Tonnerre, fut sans postérité.
Deuxième
maison d'Anjou
Charles Ier d'Anjou (1227-1285), roi de Naples et de Sicile à partir de 1266, fondateur de la deuxième maison d’Anjou.
Fils posthume du roi de France Louis VIII et frère de Louis IX, il reçoit en apanage l’Anjou et le Maine (1232) puis, par son mariage avec Béatrice, fille de Raymond Bérenger V, le comté de Provence (1246). En 1248, il accompagne Louis IX, dit Saint Louis, à la septième croisade. Capturé en 1250 et emprisonné, il regagne ensuite la Provence où il se heurte à l’opposition de l’aristocratie locale, qui lui impose un droit de regard sur sa politique.
C’est pourquoi il accepte la proposition d’Urbain IV qui l’encourage à conquérir Naples et la Sicile pour réduire la puissance des Hohenstaufen. En 1266, il bat Manfred, roi de Sicile, près de Bénévent, et est investi par le pape du royaume de Naples et de Sicile. Pendant deux ans, il doit pourtant asseoir son autorité sur ce nouveau territoire, autorité violemment contestée par le dernier héritier de la dynastie Hohenstaufen, Conradin, le neveu de Manfred. La bataille de Tagliacozzo, en 1268, s’achève par une victoire définitive : Conradin est capturé puis exécuté la même année.
En 1270, Charles Ier prend part à la huitième croisade. Cherchant à se constituer un empire s’étendant jusqu’en Orient, il brigue les titres de roi d’Albanie (1272) et de Jérusalem (1277). Pourtant, la stabilité de son royaume reste relative. Le roi a recours à la force pour anéantir les nobles gibelins, confisquant leurs biens pour payer ses soldats. Les insulaires se révoltent contre cette domination angevine et, à la suite de la révolte des Vêpres siciliennes, il doit abandonner la Sicile à Pierre III d’Aragon en 1282. Charles Ier meurt peu après, laissant son royaume napolitain en proie au chaos.
"Charles Ier d'Anjou," Encyclopédie® Microsoft® Encarta 2000. © 1993-1999 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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220. de BRIENNE ; d'ACRE de BRIENNE Louis 1er, N° Sosa 253581910, Génération IX |
Fils de de BRIENNE Jean 1er |
Il a épousé avant 1253, |
1
enfant est né de cette union : |
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|
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|
Fils de de
CASTILLE Ferdinand
III - 159 - |
Uni avec de
MEULAN ; de BEAUMONT Ide
- 134 - |
1
enfant est né de cette union : |
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|
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|
Fille de de
CASTILLE Ferdinand
III - 159 - |
Unie avec PLANTAGENET Edouard 1er - 352 -. |
1
enfant est né de cette union : |
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|
Fils de de
CASTILLE Saint
Ferdinand III - 160 - |
Uni avec YNGLING ; de NORVÈGE Christine |
Uni avec de CASTRO de CABRERA Léonore. |
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||
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Fils de D'ALBRET Amanieu V |
Il a épousé en premières noces vers 1245,
|
Il a épousé en deuxièmes noces vers 1255,
|
1
enfant est né de cette union : |
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|
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|
Fille de DE
SÉVERAC Guy
IV - 162 - |
Unie avec D'ARPAJON Hugues Ier |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
La.filiation avec ses parents reste à vérifier.
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||
|
Fille de DE
CANILLAC Déodat
- 163 - |
Elle a épousé avant 1264, |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
DE
CHATEAUNEUF Guérine
- 303 - |
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Fils de DE
CANILLAC Déodat
- 163 - |
Uni avec DE DEAULX N |
1
enfant est né de cette union : |
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|
Fils de DE
COMBORN Bernard
II - 208 - |
Uni avec DE LIMOGES Marie |
1
enfant est né de cette union : |
Il a épousé en deuxièmes noces le vendredi
8 janvier 1255, |
|
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Fille de DE ROQUEFEUIL Raymond II |
Elle a épousé vers 1230, |
1
enfant est né de cette union : |
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|
|
||
|
Fils de DE
CARDAILLAC Hugues
III - 168 - |
Uni avec DE PÉRIGORD Almodis |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Profession : Seigneur de Cardaillac & de Bioule, de Lacapelle-Marival, de Saint-Maurice, de Rudelle, de Thémines en partie, de Saint-Cirq.La.Popie, de Monsalès, de Corn, de Camboulit, de Aujols, de Val-Fages etc... Sénéchal du Roi d'Angleterre es provinces de Limousin, Périgord & Quercy jusqu'en 1261, Gouverneur de Belvès, Castelnaud & Bergerac.
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|
Fils de D'AUVERGNE
Robert
Ier - 169 - |
Uni avec D'AUVERGNE
Mathilde
- 178 - |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
D'AUVERGNE
Mahaut
- 242 - |
1 Note Générale :
Profession : Dauphin d'Auvergne, Comte de Clermont en 1260.
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Fille de DE
MONTBOISIER Eustache
III - 245 - |
1
enfant est né de père non dénommé : |
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|
|
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|
Fils de DE
CHATEAUNEUF Guérin
III - 171 - |
Uni avec DE BRASSADOLS Marquèze |
Il a épousé en deuxièmes noces avant 1264,
|
2
enfants sont nés de cette union : |
o
DE
CHATEAUNEUF Guérine
- 303 - |
1 Note Générale :
Profession : Baron d'Apchier (48), Seigneur de Châteauneuf.du.Randon en partie, Saint-Auban, Montaleyrac, Monjésieu, Dolan, Saint-Georges, Recoux.
Attesté en 1256, 1263, le 31 août 1285, en 1291, 1296 et 1298.
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|
||
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234. de Malines de MECHELEN Mahaut, N° Sosa 63396585, Génération IX |
Fille de de MECHELEN Walter VII Berthold |
Elle a épousé le vendredi 18 juin 1277, |
1
enfant est né de cette union : |
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|
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|
Fils de DE POLIGNAC Armand V |
Uni avec DE CHATEAUNEUF de RANDON Marquese |
1
enfant est né de cette union : |
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|
|
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|
Fils de de PIERREPONT Jean III |
Uni avec de DREUX Jeanne |
1
enfant est né de cette union : |
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Fils de DE PEYRE Astorg VIII |
Il a épousé vers 1272, |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
DE
PEYRE Alexandrine
ou Alix
- 313 - |
1 Note Générale :
Profession : Baron de Peyre.
Attesté en 1304.
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|
|
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|
Fille de DE PEYRE Astorg VIII |
Elle a épousé après 1287, |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
La.filiation avec ses parents reste à vérifier. Elle est néanmoins avec certitude fille d'un Astorg.
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Fils de DE
LA TOUR d'AUVERGNE Bernard
II - 176 - |
Il a épousé le jeudi 10 janvier 1275, |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Profession : Seigneur de La Tour
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Fils de de
LANGEAC Bompard
- 177 - |
Il a épousé en 1320, |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
de
LANGEAC Armand
II
- 316 - |
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Fils de D'AUVERGNE
Robert II
- 231 - |
Uni avec DE MERCOEUR Alix |
1
enfant est né de cette union : |
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Fille de D'AUVERGNE
Robert II
- 231 - |
Elle a épousé en 1288, |
1 Note Générale :
Décès : entre 1309 & 1317.
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Fille de DE GENEVE Rodolphe |
Unie avec DE
POITIERS-VALENTINOIS Aimar
IV - 454 - |
1
enfant est né de cette union : |
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Fille de DE
LA TOUR d'AUVERGNE Bernard
III - 180 - |
Elle a épousé en 1307, |
1
enfant est né de cette union : |
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Fils de DE
MONTBOISIER Eustache
II - 181 - |
Uni avec D'AUVERGNE Alix Dauphine - 170 -. |
1
enfant est né de cette union : |
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Fils de d'ESTOUTEVILLE
Jean
- 183 - |
Uni avec de MAUQUENCHY Jehanne Jeanne |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
d'ESTOUTEVILLE
Catherine
- 322 - |
Uni avec d'HARCOURT Marie. |
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Fille de PAYNEL ; PAISNEL Olivier III Ou IV |
Elle a épousé vers 1360, |
6
enfants sont nés de cette union : |
o
PAYNEL
Jacqueline
- 327 - |
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Fille de d'AUMALE
; de PONTHIEU Jean
II - 187 - |
Unie avec de VENDÔME Jean VI |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
de
VENDÔME Catherine
- 330 - |
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Fille de d'AUMALE
; de PONTHIEU Jean
II - 187 - |
Unie avec d'HARCOURT Jean v |
3
enfants sont nés de cette union : |
o
d'HARCOURT
Philippe
- 332 - |
o
d'HARCOURT
Jeanne
- 333 - |
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Fille de WETTIN
Friedrich
II le Sévère - 188 - |
Unie avec von HOHENZOLLERN Friedrich V |
1
enfant est né de cette union : |
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Fille de de FOREZ Louis |
Unie avec de Thoire et Villars Humbert IV |
1
enfant est né de cette union : |
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Fille de de
SAVOIE Amé
Le Grand (Amédée) - 191 - |
Elle a épousé en 1305, |
1
enfant est né de cette union : |
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Fille de de MONTFORT Amaury Vi |
Elle a épousé en 1242, |
3
enfants sont nés de cette union : |
o
de
CLERMONT Béatrix
- 338 - |
o
de
CLERMONT Guy
Ier
- 339 - |
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Fille de de MONTFORT Amaury Vi |
Unie avec de GRANDPRÉ Henri VII |
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Fille de de MONTFORT Amaury Vi |
Unie avec de NESLE Jean III |
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