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460. de CHÂTELLERAULT Jeanne, N° Sosa 126793179, Génération XII |
Fille de de
CHÂTELLERAULT Aymery
Ii - 353 - |
Elle a épousé en premières noces en 1259,
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1
enfant est né de cette union : |
Elle a épousé en deuxièmes noces en 1288,
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3
enfants sont nés de cette union : |
o
d'HARCOURT
Jeanne
- 585 - |
o
d'HARCOURT
Marguerite
- 586 - |
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Fille de de
CHÂTELLERAULT Guillaume
- 354 - |
Unie avec de SURGÈRES Hugues Maingot. |
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Fils de MALET
Robert
II - 355 - |
2
enfants sont nés de cette union : |
1 Note Générale :
Fils de Robert II Malet, sire de Graville & d'Agnès de Tancarville .
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Fils de de HOUDETOT Colart |
1
enfant est né de mère non dénommée :
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Fils de de
TILLY Jean
- 357 - |
Uni avec de COLOMBIERES Jeanne |
2
enfants sont nés de cette union : |
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Fils de de
TILLY ; de SAINT GERMAIN Jean
1er - 358 - |
Uni avec de CHIFFREVAST Jeanne |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
de
SAINT GERMAIN Jeanne
- 593 - |
1 Note Générale :
Seigneur de Saint Germain le Vicomte,chambellan du Roi,capitaine de Bayeux en 1417
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466. TILLY d'ESCARBOSVILLE ; de TILLY Raoul II1 , Génération XII |
Fils de TILLY
d'ESCARBOSVILLE ; de TILLY Nicolas
- 359 - |
Il a épousé à l'âge de 37 ans, en
1363, |
3
enfants sont nés de cette union : |
o
de
TILLY ; de TILLY d'ESCARBOVILLE Richard
- 596 - |
1 Note Générale :
Source D'Hozier : "Sorti d'une branche cadette de la maison de Tilly en Normandie, connue à présent principallement sous la qualité des Marquis de Blaru, suivant la production faite en 1523, devant les Eleus de Bayeux, pour cette branche".
"Tilly
d'Escarbouville : D'Or à une Fleur de Lys de Gueules ; suports
: 2 Lions d'Or languez de Gueules ; cimier : un Lion issant de même,
contourné. Devise : Nostro fic sanguine tinctum".
Seigneur
D'Escarbouville
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467. de TILLY Jeanne Ou Colette, N° Sosa 3962273, Génération XII |
Fille de TILLY
d'ESCARBOSVILLE ; de TILLY Nicolas
- 359 - |
Unie avec AUX-ÉPAULES Guillaume IV |
6
enfants sont nés de cette union : |
o
AUX-ÉPAULES
Guillemette
Ou Marguerite
- 598 - |
o AUX-ÉPAULES Philippe |
o AUX-ÉPAULES Marguerite |
o AUX-ÉPAULES Jean |
o AUX-ÉPAULES Jeanne |
Unie avec AUX-EPAULES Philippe |
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Fils de TILLY
d'ESCARBOSVILLE ; de TILLY Nicolas
- 359 - |
Il a épousé en premières noces en 1349,
|
1
enfant est né de cette union : |
Il a épousé en deuxièmes noces le lundi 4
mars 1364, |
6
enfants sont nés de cette union : |
o
de
TILLY Margueritte
- 604 - |
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Fille de de
REVIERS Guillaume
- 360 - |
Unie avec de BORAN Robert. |
o
de
BORAN Guillemette
- 608 - |
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|
Fils de de
REVIERS Jean
- 361 - |
Uni avec d'ARGOUGES Philippote |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Ascendants de Jean ou Richard de REVIERS
<< ^^
Jusqu'à la 10e génération.
* Génération 1
o 1 - Jean ou Richard de REVIERS, Ecuyer seigneur de Fontenailles et Manvieux
* Génération 2
o 2 - Jean de REVIERS, Ecuyer seigneur de Fontenailles
o 3 - ? ?
* Génération 3
o 4 - Héliot de REVIERS, Ecuyer
o 5 - ? ?
* Génération 4
o 8 - Jean de REVIERS, Ecuyer seigneur de Fontenailles et Manvieux
o 9 - ? ?
* Génération 5
o 16 - Richard de REVIERS, Chevalier seigneur de Fontenailles et Manvieux
o 17 - ? ?
* Génération 6
o 32 - Guillaume de REVIERS, Chevalier seigneur de Fontenailles et Manvieux
o 33 - ? ?
* Génération 7
o 64 - Henri de REVIERS, Seigneur de Fontenailles et Manvieux +
o 65 - ? ?
* Génération 8
o 128 - Richard de REVIERS, Seigneur d'Amfreville et de la Beurrière
o 129 - Béatrice de GRENTEMESNIL
* Génération 9
o 256 - Guillaume de REVIERS, Seigneur d'Amfreville et de la Beurrière +
o 257 - N... d'ORGLANDES
o 258 - Guillaume de GRENTEMESNIL +1122/
o 259 - Emme ?
* Génération 10
o 512 - Guillaume de REVIERS, Seigneur d'Amfreville et de la Beurrière +
o 513 - ? ?
o 516 - Guillaume de GRENTEMESNIL
o 517 - Mabille de HAUTEVILLE
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Fille de de
CAMPROND Jean
- 362 - |
Unie avec CROSVILLE ; BOUDET de CROSVILLE Jean II |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
BOUDET
; de CROSVILLE Jean
III
- 612 - |
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|
Fille de DE TOULOUSE-LAUTREC-MONTFA Guillaume |
Unie avec D'ARPAJON
Hugues
II - 367 - |
1
enfant est né de cette union : |
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Fille de DE
NARBONNE Aymeric
V - 365 - |
1
enfant est né de père non dénommé : |
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Fils de D'ARPAJON
Hugues
II - 367 - |
Uni avec DE
ROQUEFEUIL Delphine
- 686 - |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Profession : Vicomte de Lautrec (81) ( pour un douzième).
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475. LOUIS X le Hutin ; Roi de France ; CAPÉTIEN 1 , Génération XII |
Fils de CAPÉTIEN
Philippe
IV Le Bel - 368 - |
Il a épousé en premières noces à
l'âge de 15 ans, en 1305, |
1
enfant est né de cette union : |
Il a épousé en deuxièmes noces à
l'âge de 25 ans, en 1315, |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
#Générale#Louis X le Hutin (1289-1316), roi de France (1314-1316) qui, pendant la majeure partie de son règne éphémère, fut confronté à une sérieuse crise de subsistance, ainsi qu'à l'opposition des ligues féodales. Né à Paris, le 4 octobre 1289, ce fils aîné de Philippe IV et de Jeanne de Navarre hérita d'un domaine agrandi et d'un pouvoir renforcé. Il épousa en 1305, Marguerite, fille de Robert II duc de Bourgogne, qui fut compromise dans une affaire d'adultère en 1314 et mourut emprisonnée à Château-Gaillard en 1315, dans des conditions mystérieuses. Ses secondes noces avec Clémence de Hongrie devaient lui donner un héritier posthume. S'il reçut de son père un royaume renforcé, il dut néanmoins faire face à de graves difficultés, et, ce, dès le début de son règne. En effet, à la prospérité du «beau» XIIe siècle succéda une grave crise économique d'où un regain d'agitation sociale. De 1315 à 1317, l'aggravation de la crise de subsistance, la famine étant particulièrement importante dans le Nord, engendra un mécontentement général. Les revendications prirent une tournure politique avec la petite aristocratie, qui se constitua en ligues dès 1314, et sema le trouble dans le royaume. Dans leurs doléances, ces derniers rejetaient, en particulier, l'empiètement de l'administration royale sur leurs pouvoirs locaux. Afin de mettre fin à la rébellion, Louis X adopta une attitude conciliante. Il octroya ainsi des chartes provinciales garantissant les privilèges de la noblesse, des Bourguignons, des Picards et des Champenois notamment. En 1315, il dut également accepter l'exécution du conseiller de Philippe le Bel, Enguerrand de Marigny, alors peu aimé de la noblesse et de Charles de Valois en particulier, lesquels auraient souhaité pouvoir participer davantage à la gestion du royaume. L'hostilité des «grands» à l'entrée des légistes au Conseil qu'ils auraient souhaité pouvoir diriger eux-mêmes perdura cependant. En 1315, le roi échoua dans une campagne indécise qu'il dirigea contre les Flandres. La fin de son règne fut marquée par un important problème de succession : il n'avait eu qu'une fille de son premier mariage, Jeanne, et sa seconde femme n'accoucha de son fils, Jean Ier, qu'après sa mort, survenue à Vincennes le 5 juillet 1316. Ce dernier ne vécut que cinq jours et les droits de succession de Jeanne furent repoussés au bénéfice du frère de Louis X, Philippe V le Long. Malgré les crises qui marquèrent son règne, Louis X aura joué un rôle incontestable dans l'affirmation du pouvoir monarchique sous l'Ancien Régime, en cherchant habilement à dialoguer avec la nation naissante.
"Louis X le Hutin," Encyclopédie® Microsoft® Encarta 2000. © 1993-1999 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Fille de CAPÉTIEN
Philippe
IV Le Bel - 368 - |
Elle a épousé en 1308, |
1
enfant est né de cette union : |
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477. PHILIPPE V le Long ; Roi de France ; CAPÉTIEN Philippe V Le Long1 , Génération XII |
Fils de CAPÉTIEN
Philippe
IV Le Bel - 368 - |
Il a épousé en 1307, |
o
CAPÉTIEN
; de FRANCE Marguerite
- 617 - |
1 Note Générale :
EXTINCTION DE LA DYNASTIE DES CAPÉTIENS DIRECTS .
#Générale#Philippe V le Long (v. 1294-1322), roi de France (1317-1322). Fils cadet de Philippe IV le Bel, il fut nommé régent du royaume à la mort de son frère Louis X. Lorsque son neveu Jean Ier mourut à l'âge de quelques jours, il se proclama roi grâce à l'appui des états généraux et se fit sacrer à Reims le 9 janvier 1317, écartant du trône sa nièce, Jeanne de France. Dorénavant, les femmes furent exclues de la succession au royaume de France. Philippe V régna six ans. Consultant régulièrement les délégués des barons, du clergé et des villes, il contribua à établir les états généraux. En 1320, il mit fin à la guerre de Flandre commencée sous Philippe le Bel. Par ailleurs, il continua la politique de son père. Son règne fut marqué par les progrès de l'autorité royale : il développa les milices urbaines, véritable police au service du roi, réforma l'administration financière en instituant notamment la Chambre des comptes en 1320, réorganisa la maison royale, perfectionna l'administration des Eaux et Forêts, proclama l'inaliénabilité du domaine de la couronne, mais ne parvint pas à unifier le système des poids et mesures. Il s'attaqua aux juifs, pratiquant la confiscation des biens et le bannissement, et soutint aussi l'Inquisition. Atteint de dysenterie, Philippe V mourut à l'âge de vingt-neuf ans, sans laisser d'héritier mâle de son mariage avec Jeanne de Bourgogne. Son frère Charles IV lui succéda.
"Philippe V le Long," Encyclopédie® Microsoft® Encarta 2000. © 1993-1999 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Fils de CAPÉTIEN
Philippe
IV Le Bel - 368 - |
Il a épousé en premières noces à
l'âge de 14 ans, en 1308, 2 |
Il a épousé en deuxièmes noces à
l'âge de 28 ans, en 1322, |
Il a épousé en troisièmes noces à
l'âge de 31 ans, en 1325, |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
EXTINCTION DE LA DYNASTIE DES CAPÉTIENS DIRECTS .
#Générale# CHARLES IV
CHARLES IV LE BEL (1294-1328) roi de France (1322-1328)
INCLUDEPICTURE "charles4.jpg"
Le plus jeune des fils de Philippe le Bel, Charles de la Marche, prend la succession de son frère Philippe V, mort sans héritier mâle, selon le précédent créé en 1317. Le scandale de la tour de Nesle après lequel il obtient l’annulation de son mariage avec Blanche de Bourgogne n’atteint pas le prestige du nouveau roi. Son voyage en Languedoc en 1324 est une suite de fêtes royales qui contribuent à sa popularité. Pour gouverner, il doit, comme ses frères, consentir aux exigences de réformes soutenues par la noblesse et le clergé. Les réformateurs généraux pour l’ensemble du royaume et surtout ceux de la ville et vicomté de Paris poursuivent leur tâche. Les charges financières et judiciaires accordées gratuitement sont restituées. Les officiers de la Chambre des comptes, du Parlement, des Requêtes de l’hôtel, de la Chancellerie et du Châtelet sont surveillés ; leur office réformé. Mais l’action des réformateurs ne freine ni la bureaucratisation, ni l’intrusion des bourgeois parisiens et auvergnats et, surtout, des compagnies italiennes dans les mouvements de fonds royaux. La recherche de moyens financiers reste un problème majeur. Mutations monétaires, impôts sur les marchandises, dîme levée avec l’accord du pape en prétendant partir à la croisade (1323), confiscation des biens des financiers italiens, octroi de chartes de communes sont autant d’expédients. Mais, à la mort de Charles IV, d’autres problèmes restent en suspens. Après avoir prononcé la confiscation de la Guyenne (1324), faute d’avoir reçu l’hommage du roi anglais Édouard II, guerres et négociations se succèdent dans le Sud-Ouest. En 1327, profitant de la faiblesse de la royauté anglaise, Charles IV impose un accord draconien : 50 000 marcs d’indemnité de guerre, 60 000 livres de relief ; les terres sont occupées en attendant le paiement de la somme. La mort de Charles IV risque de compromettre ce succès, d’autant qu’Édouard III, son neveu, est candidat à la couronne de France puisque le roi ne garde que des filles de ses deux mariages, avec Marie de Luxembourg (1322) et Jeanne d’Évreux (1324).
____________________________________________________________________ ___________________
Charles IV le Bel (1294-1328), roi de France (1322-1328) et, sous le nom de Charles Ier, roi de Navarre (1322-1328), dernier descendant en ligne directe d’Hugues Capet.
Né en 1294, troisième fils de Philippe IV, il succède en 1322 à son frère Philippe V, mort sans descendance mâle. Après avoir répudié sa femme Blanche de Bourgogne, il épouse Marie de Luxembourg (1322) puis Jeanne d’Évreux (1324).
Comme ses prédécesseurs, Charles IV s’efforce d’augmenter les recettes du Trésor royal, recourant notamment à la levée de taxes, à la confiscation de biens, à l’altération des monnaies et aux ventes de charges administratives. Pour favoriser la levée d’un impôt direct, il fait établir en 1326 un des premiers recensements de l’histoire de France : l’État des paroisses et des feux. En politique extérieure, il s’engage sans succès dans les querelles de succession à la tête du Saint Empire romain germanique. En revanche, il réussit à s’opposer aux Anglais en Aquitaine où il parvient à enlever la région d’Agen. Il soutient également sa sœur Isabelle, femme du roi d’Angleterre Édouard II, lorsque celle-ci fomente une révolte et fait assassiner son mari (1327). Ces différentes prises de position face à l’Angleterre sont annonciatrices de la guerre de Cent Ans.
Surnommé le Bel comme son père, Charles IV ne régnera que six années. Il meurt au château de Vincennes en 1328, sans héritier, et la couronne reviendra à la branche des Valois, avec Philippe VI.
"Charles IV le Bel," Encyclopédie® Microsoft® Encarta 2000. © 1993-1999 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Normal;1er
février 1328
Mort de Charles IV, dit le Bel. Il était
le dernier héritier de Philippe le Bel qui, en mourant, avait
laissé trois fils - Louis le Hutin, Philippe le Long et
Charles le Bel - qui donnèrent à leur père
l'espérance d'une nombreuse postérité, et qui
disparurent tous trois en moins de quatorze ans.
Quand il se
sentit près de sa fin, il fit appeler les grands seigneurs qui
étaient à sa cour, et leur dit « que si la reine
accouchait d'un fils, il ne doutait point qu'ils ne le reconnussent
pour leur roi ; mais que si elle n'avait qu'une fille, ce serait aux
grands barons de France à adjuger la couronne à qui
elle appartiendrait ; qu'en attendant il déclarait Philippe de
Valois, son cousin, régent du royaume. »
Après
la mort de Charles, toute la haute noblesse s'étant assemblée,
confirma la régence à Philippe de Valois, et la reine
n'étant accouchée que d'une fille, Philippe fut
aussitôt couronné roi. C'est ainsi que la branche des
Valois monta sur le trône.
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2 Note Générale :
Répudiée en 1322.
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|
Fils de de
FRANCE ; de VALOIS Charles
1er - 369 - |
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|
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|
480. de FRANCE ; de VALOIS ; de VALOIS-COURTENAY Catherine II, Génération XII |
Fille de de
FRANCE ; de VALOIS Charles
1er - 369 - |
Unie avec de
TARENTE ; d'ANJOU Philippe
1er - 394 - |
6
enfants sont nés de cette union : |
o
de
TARENTE ; d'ANJOU-SICILE Robert
- 507 - |
o
de
TARENTE ; d'ANJOU Marguerite
- 508 - |
o de TARENTE ; d'ANJOU Marie |
o
de
TARENTE ; d'ANJOU Jeanne
- 509 - |
o
de
TARENTE ; d'ANJOU-SICILE Philippe
II
- 510 - |
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|
Fille de de
FRANCE ; de VALOIS Charles
1er - 369 - |
Unie avec d'ARTOIS Robert III. |
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|
Fille de de
FRANCE ; de VALOIS Charles
1er - 369 - |
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|
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|
Fille de de
VALOIS ; CAPET Charles
Ier - 370 - |
Elle a épousé à l'âge de 5 ans, en
1297, |
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|
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|
Fils de de
VALOIS ; CAPET Charles
Ier - 370 - |
Il a épousé à l'âge de 20 ans, en
1313, |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
d'ORLÉANS
; VALOIS Philippe
- 499 - |
1 Note Générale :
AVÈNEMENT DE LA DYNASTIE DES VALOIS .
1. PRÉSENTATION Philippe VI de Valois (1293-1350), régent (1328) puis roi de France (1328-1350), premier souverain de la branche des Valois qui réussit à agrandir le domaine royal, mais entraîna la France dans la guerre de Cent Ans. Son règne, à bien des égards désastreux, fut marqué par une crise économique persistante.
2. UNE SUCCESSION DIFFICILE
Fils de Charles de Valois et de Marguerite de Sicile, neveu de Philippe IV le Bel et petit-fils de Philippe III, Philippe de Valois fut nommé régent au mois de février 1328, à la mort de son cousin germain, Charles IV, dernier des Capétiens directs, dont l’épouse était enceinte. Lorsque cette dernière accoucha d’une fille, le 1er avril 1328, se posa le problème de la succession au trône de France.
Philippe de Valois se vit opposer deux autres candidats : Philippe d’Évreux, petit-fils de Philippe III, qui réclamait l’héritage pour le compte de sa femme, Jeanne, fille de Louis X, et Édouard III, roi d’Angleterre, petit-fils de Philippe IV par sa mère, Isabelle de France. Réunis le 8 avril, les barons, sensibles au fait que seul Philippe de Valois était un prince français, réutilisèrent l’argument selon lequel «femme ne succède pas au royaume de France», déjà évoqué lors de la succession de Louis X, pour le porter au pouvoir. Sacré à Reims à la fin du mois de mai, Philippe VI, désireux d’éviter toute contestation future, céda en dédommagement la Navarre à Philippe d’Évreux et à son épouse, mais se fit reconnaître la possession de la Champagne.
Dès le mois de juin, le nouveau roi, sollicité par son vassal Louis de Nevers, comte de Flandre, en butte à une révolte des bourgeois flamands, convoqua l’ost pour le 22 juillet, et remporta en août la victoire de Cassel, qui fit beaucoup pour asseoir son prestige. Dès le début de son règne, cependant, il fut confronté à l’hostilité d’Édouard III, antagonisme qui fut la source d’un conflit dont les conséquences devaient se faire sentir durant un siècle.
3. LES DÉBUTS DE LA GUERRE DE CENT ANS
La querelle se cristallisa d’abord sur la question de la Guyenne, possession anglaise dont Édouard III refusait de rendre hommage au roi de France, position qu’il conserva lors de l’entrevue d’Amiens, au mois de juin 1329, et sur laquelle il n’accepta de revenir partiellement qu’au mois de mars 1331. Profitant de cette période de paix, Philippe VI s’engagea dans des préparatifs pour une nouvelle croisade, dont le projet, faute de moyens, fut définitivement abandonné en 1336.
La même année, les relations avec l’Angleterre se détériorèrent de nouveau. La politique agressive de Philippe VI, dont les agents multipliaient les vexations à l’égard de l’administration anglaise en Guyenne, ainsi que le soutien apporté en Écosse à David Bruce contre le prétendant appuyé par Édouard III déterminèrent celui-ci à tenter une manœuvre d’intimidation : contre le comte de Flandre, allié de la France, il décréta l’interdiction d’exporter de la laine anglaise en Flandre, provoquant une grave crise dans le commerce du drap, qui constituait la principale source de richesse de la Flandre. Ce premier acte hostile déclencha une série d’escarmouches isolées entre troupes françaises et anglaises.
En 1337, le conflit prit un tour nouveau avec la confiscation de la Guyenne par Philippe VI, tandis qu’Édouard III se mettait à faire valoir ses droits d’héritier de la couronne de France. Malgré la médiation du pape, la guerre de Cent Ans s’engagea. Celle-ci débuta fort mal pour la France, car le roi d’Angleterre disposait de solides appuis, dont celui de l’empereur germanique Louis IV de Bavière et, en Flandre, celui de la bourgeoisie marchande, regroupée derrière un drapier, Jacques Van Artevelde, qui prit la tête du parti favorable aux Anglais. Après le ravage de la Thiérache par les Anglais, en 1339, Édouard III, qui avait substitué sur son sceau les armes de France à celles d’Angleterre, arma une flotte qui rencontra les navires français à l’Écluse, près de Bruges, le 24 juin 1340, bataille où les Français furent écrasés. Dès le mois de septembre, cependant, la trève d’un an, signée à Esplechin, sembla annoncer une paix durable, d’autant que le ralliement de Louis de Bavière à Philippe VI était susceptible de calmer les ardeurs anglaises.
4. LA SUCCESSION DE BRETAGNE
La mort de Jean II, duc de Bretagne, le 30 avril 1341, ouvrit un nouveau front : Philippe VI apporta en effet son soutien à la nièce du duc, Jeanne de Penthièvre, épouse de Charles de Blois, contre Jean de Montfort, demi-frère du duc et protégé par le roi d’Angleterre.
Les opérations militaires, favorables à Charles de Blois qui parvint à s’emparer de son adversaire et à l’emprisonner à Nantes, poussèrent à la rupture de la trève d’Esplechin. Cependant, après l’échec du siège de Vannes par Édouard III, en 1342, la trève de Malestroit, en janvier 1343, se solda par la libération de Jean de Montfort, sans régler la question de la succession de Bretagne. Philippe VI, de son côté, fit exécuter Olivier de Clisson et une douzaine de gentilshommes bretons qu’il accusait de collusion avec les Anglais, tandis que la guerre reprenait en Bretagne.
5. DERNIÈRES OPÉRATIONS
En mai 1345, Édouard III renouvela son défi au roi de France ; les hostilités gagnèrent la Flandre et la Guyenne, et, en juillet 1346, le roi d’Angleterre, débarqué à Saint- Vaast-la-Hougue, prit Caen et passa la Somme. Le choc entre les deux armées, qui eut lieu à Crécy le 26 août 1346, tourna à l’avantage de l’Angleterre qui, pour la première fois, utilisa l’artillerie dans une bataille. Les troupes anglaises, dont une partie se porta vers la Bretagne où Charles de Blois fut battu en juin, vinrent ensuite mettre le siège devant Calais, perdue pour la France en août 1347. Entre les deux pays, affaiblis par ces longues années de guerre, qu’aggravait en France l’épidémie de Peste noire, une trève fut conclue au mois de septembre, puis fut renouvelée l’année suivante.
6. UN BILAN CONTRASTÉ
Philippe VI réussit à augmenter le domaine royal des comtés de Valois, de Chartres, du Maine et de l’Anjou, apanages de sa maison, à obtenir la Champagne et la Brie, et, par achat, le Dauphiné et la ville de Montpellier. Mais son règne fut marqué par de constantes difficultés économiques, qui l’obligèrent à généraliser en 1341 un impôt sur le sel, la gabelle, à emprunter des sommes de plus en plus importantes au pape et à dévaluer la monnaie à plusieurs reprises. Ces mesures fort impopulaires contribuèrent à le discréditer.
En 1347-1348, la Peste noire, qui fit des dizaines de milliers de victimes, vint s’ajouter au fléau de la guerre et fut la cause directe de la grande famine de 1349, aucune récolte n’ayant pu être préparée.
Mort à l’abbaye de Coulomb, près de Nogent-le-Roi le 22 août 1350, Philippe VI laissait un royaume exsangue, menacé par les appétits anglais. Marié d’abord à Jeanne de Bourgogne, qui lui donna deux fils, dont son successeur, Jean II le Bon, Philippe VI avait épousé après son veuvage, en 1348, sa cousine Blanche, fille du roi de Navarre.
"Philippe VI de Valois," Encyclopédie® Microsoft® Encarta 2000. © 1993-1999 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Fille de de
VALOIS ; CAPET Charles
Ier - 370 - |
Elle a épousé en 1336, |
7
enfants sont nés de cette union : |
o
JEANNE
; Reine de France ; de BOURBON -
620 - |
o
de
BOURBON Blanche
- 621 - |
o
de
BOURBON Bonne
- 622 - |
o
de
BOURBON Catherine
- 623 - |
o
de
BOURBON Marguerite
- 624 - |
o
de
BOURBON Marie
- 625 - |
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|
|
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Fils de de
FRANCE Philippe
IV - 371 - |
Uni avec de
BOURGOGNE Marguerite
- 390 - |
1
enfant est né de cette union : |
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|
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|
Fille de d'ÉVREUX
; CAPET Louis
Ier - 372 - |
Elle a épousé à l'âge de 15 ans, en
1325, |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Fille du comte d'Evreux Louis.
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Fils de d'ÉVREUX
; CAPET Louis
Ier - 372 - |
Uni avec de
NAVARRE Jeanne
II - 500 - |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Philippe III d'Evreux, Roi de Navarre
Né en 1301
Mort à Xérès, le 16 septembre 1343
Comte d'Evreux (1319), d'Angoulême et de Longueville, Comte de Mortain (1335), Roi de Navarre (1329)
Marié le 27 mars 1316 avec :
Jeanne II (1312-1349), Reine de Navarre
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Fille de d'ÉVREUX
; CAPET Louis
Ier - 372 - |
Elle a épousé entre 1311 et 1314, |
6
enfants sont nés de cette union : |
o
de
BRABANT Marguerite
- 628 - |
o
de
BRABANT Marie
- 629 - |
o
de
BRABANT Jean
- 630 - |
o
de
BRABANT Henri
- 631 - |
o
de
BRABANT Godefroy
- 632 - |
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Fille de de
LA CERDA Ferdinand
II - 375 - |
Unie avec de PENAFIEL Jean Emmanuel. |
1
enfant est né de cette union : |
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491. de BRABANT Jean III dit le Triomphant1 , Génération XII |
Fils de de
BRABANT Jean
II dit le Pacifique - 376 - |
Il a épousé en premières noces entre 1311
et 1314, |
6
enfants sont nés de cette union : |
o
de
BRABANT Marguerite
- 628 - |
o
de
BRABANT Marie
- 629 - |
o
de
BRABANT Jean
- 630 - |
o
de
BRABANT Henri
- 631 - |
o
de
BRABANT Godefroy
- 632 - |
Uni avec van VEENE Irmengarde |
1
enfant est né de cette union : |
1 Note Générale :
Jean III de Brabant
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Jean III de Brabant, dit le Triomphant, né en 1300, mort à Bruxelles le 5 décembre 1355, fut duc de Brabant et de Limbourg de 1312 à 1355. Il était fils de Jean II, duc de Brabant et de Limbourg, et de Marguerite d'Angleterre.
Le début de son règne fut troublé par le mécontetement, dû au fait que les biens de Brabançons à l'étranger furent saisis à cause des dettes des ducs Jean Ier et Jean II, et d'autre part au fait que les conseillers du jeune ne respectaient pas la Charte de Cortenberg. En échange du respect de la Charte, de la mise sous curatelle des finances ducales et de nouveaux privilèges envers les villes brabançonnes, ces dernières acceptèrent de payer les dettes du duc.
Il se brouilla ensuite avec la roi de France, qui voulait isoler commercialement la Flandre, ce qui allais à l'encontre des intérêts économiques du Brabant. En 1315, il aida Adolphe de La Marck, évêque de Liège à lutter contre ses sujets révoltés. Durant les décennies qui suivirent, il combattit plusieurs des seigneurs voisins.
Au début de la guerre de Cent Ans, il se rangea aux côtés de l'Angleterre et accompagna Édouard III dans ses expéditions. En représaille, Philippe VI de Valois fit saisir les biens des Brabançons en France, et les bourgeois de Bruxelles se révoltèrent alors contre leur duc. Jean III intervint énegiquement et fit décapiter un meneur. À partir de 1340, il s'éloigna de l'alliance anglaise, préférant s'allier à la France et mariant ses filles à des alliés du royaume de France, le duc de Luxembourg, le comte de Flandre et le duc de Gueldre.
Mariage et enfants [modifier]
Il épousa en 1311 Marie d'Evreux († 1335), fille de Louis de France, comte d'Évreux et de Marguerite d'Artois. Ils eurent :
* Jeanne (1322 † 1406), duchesse de Brabant et de Limbourg, mariée en 1334 à Guillaume II d'Avesnes (1307 † 1345), comte de Hainaut et de Hollande, puis en 1352 avec Venceslas Ier de Bohême (1337 † 1383), duc de Luxembourg
* Marguerite (1323 † 1368), mariée en 1347 à Louis II de Male (1330 † 1384), comte de Flandre
* Marie (1325 † 1399), mariée en 1347 à Renaud III (1333 † 1371), duc de Gueldre
* Jean (1327 † 1335)
* Henri († 1349)
* Godefroy († 1352)
Il laissa également de nombreux enfants illégitimes.
Précédé par Jean III de Brabant Suivi par
Jean II duc de Brabant
et de Limbourg
Jeanne et
Venceslas Ier
Source
* Académie royale de Belgique, Biographie nationale, vol 10, Bruxelles, 1889 [détail des éditions]
Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_III_de_Brabant »
Catégories : Maison de Brabant | Duc de Brabant | Duc de Limbourg | Naissance en 1300 | Décès en 1355
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Fille de de
BOURBON Louis
Ier Le Grand - 377 - |
Unie avec de FOREZ Guigues Vii |
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Fils de de
BOURBON Louis
Ier Le Grand - 377 - |
Il a épousé en 1336, |
7
enfants sont nés de cette union : |
o
JEANNE
; Reine de France ; de BOURBON -
620 - |
o
de
BOURBON Blanche
- 621 - |
o
de
BOURBON Bonne
- 622 - |
o
de
BOURBON Catherine
- 623 - |
o
de
BOURBON Marguerite
- 624 - |
o
de
BOURBON Marie
- 625 - |
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|
Fille de de
BOURBON Louis
Ier Le Grand - 377 - |
Elle a épousé à l'âge de 7 ans, le
dimanche 6 juillet 1320, |
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|
Fils de de
BOURBON Louis
Ier Le Grand - 377 - |
Il a épousé à l'âge de 20 ans, en
1335, |
4
enfants sont nés de cette union : |
o
de
BOURBON Isabelle
- 637 - |
o
de
BOURBON Pierre
- 638 - |
o
de
BOURBON Jacques
Ier
- 639 - |
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||
|
Fille de de
BOURBON ; de CLERMONT Jean
- 378 - |
Elle a épousé en mai 1327, |
3
enfants sont nés de cette union : |
o
d'ARMAGNAC
Jean II Le
Bossu
- 640 - |
o
d'ARMAGNAC
Jeanne
- 641 - |
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497. JEANNE II ; Reine de Navarre ; CAPET 1 , Génération XII |
Fille de LOUIS
X le Hutin ; Roi de France ; CAPÉTIEN - 475 - |
Elle a épousé à l'âge de 17 ans, en
1329, |
3
enfants sont nés de cette union : |
o
d'ÉVREUX
; de NAVARRE Jeanne
- 644 - |
1 Note Générale :
EXTINCTION DE LA DYNASTIE DES CAPÉTIENS DIRECTS .
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Fils de de
FRANCE Philippe
VI - 484 - |
Il a épousé en premières noces à
l'âge de 13 ans, en 1332, |
12
enfants sont nés de cette union : |
o
de
BERRY ; VALOIS Jean
Ier
- 649 - |
o
de
BOURGOGNE ; VALOIS Philippe
Ii Le Hardi
- 650 - |
o
de
VALOIS Marguerite
- 655 - |
Il a épousé en deuxièmes noces à
l'âge de 31 ans, le vendredi 19 février 1350,
|
3
enfants sont nés de cette union : |
o
de
VALOIS -
659 - |
1 Note Générale :
Duc titulaire de Normandie (1322-1350), Comte titulaire d'Anjou et du Maine (1322- 1350), Duc titulaire de Guyenne (1345-1350), Roi de France (1350-1364), Duc de Bourgogne (1361-1363)
Jean II le Bon, baptisé le Bon (1319-1364), roi de France (1350-1364), fils du roi Philippe VI de Valois. Son règne fut marqué par des dévaluations successives de la monnaie, utilisées pour faire face aux dépenses engendrées par la reprise des hostilités opposant la France et l'Angleterre (la guerre de Cent Ans). Jean le Bon fut capturé en 1356 par Édouard, prince de Galles, lors de la bataille de Poitiers et emprisonné en Angleterre. La France, connaissant des difficultés sous la régence de son fils Charles, futur Charles V, accepta de signer en 1360 le traité de Brétigny par lequel elle abandonnait l'Aquitaine à l'Angleterre. Jean put rentrer en France contre paiement d'une lourde rançon. Cependant comme son autre fils, Louis d'Anjou, resté otage en Angleterre s'était échappé, Jean, fidèle à sa parole, retourna à Londres en 1363 et y mourut un an plus tard.
"Jean II le Bon," Encyclopédie® Microsoft® Encarta 2000. © 1993-1999 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Fils de de
FRANCE Philippe
VI - 484 - |
Il a épousé à l'âge de 8 ans, en
1344, |
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Fille de de
FRANCE Louis
X - 486 - |
Unie avec d'EVREUX
Philippe III
- 488 - |
1
enfant est né de cette union : |
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Fille de d'ARTOIS
Philippe
Ier - 393 - |
Elle a épousé en 1300, |
3
enfants sont nés de cette union : |
o
d'EVREUX
Philippe III
- 488 - |
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Fille de d'ARTOIS
Philippe
Ier - 393 - |
Unie avec de FOIX Gaston Ier |
1
enfant est né de cette union : |
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|
|
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|
Fille de d'ARTOIS
Philippe
Ier - 393 - |
Elle a épousé en 1320, |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
de
PONTHIEU Blanche
- 249 - |
1 Note Générale :
Notes
on lit dans les Cahiers de Saint-Louis n° 3 page 201 :
" Questions .... 2. Catherine d'ARTOIS (Cahier 1, page 13, paragraphe 1)
A la suite de l'ensemble des auteurs jusqu'aux plus récents, nous avons compté Catherine d' ARTOIS ( +épouse de Jean II de Ponthieu, comte d'Aumale, et mère de Blanche, comtesse d'Aumale) parmi les enfants de Robert III, comte +d'Artois, et de Jeanne de Valois. L'examen attentif des dates dont on dispose rend difficile cette filiation : Robert +III s'est marié en 1318 et sa fille en 1320... la lumière a-t-elle été faite sur le problème, en s'appuyant sur des documents ? "
puis dans les Cahier de Saint-Louis n° 6 page 402 :
" AVANT PROPOS
... Dans l'état actuel des choses, il semble bien qu'il faille la [Catherine d'ARTOIS] considérer comme une +soeur, sans doute, et non une fille du comte Robert III... (recherches de M. JF BASCANS) "
Les tables CSL n° 13-14, puis la refonte du numéro 1 dans CSL n° 30 confirment cette considération.
Thierry LE HETE dans La Dynastie Capétienne page 85 tableau XX et dans Les comtes palatins de +Bourgogne page 262 confirme le fait que Catherine est une soeur de Robert III, et fait référence à ES.III / I-70
et enfin, dans Héraldique & Généalogie n° 131 page 175 réponses 92.III.971. HARCOURT : trois références +sont citées pour prouver que Catherine est une soeur de Robert III : Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, LXVIII (1907), page 463, n° 3 B.B.Mss.Fr.20086
B.B.Mss.Fr.8536 (pp.233 et ss)
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Fils de d'ARTOIS
Philippe
Ier - 393 - |
Uni avec de VALOIS Jeanne |
1
enfant est né de cette union : |
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|
Fille de d'ARTOIS
Philippe
Ier - 393 - |
Elle a épousé à Paris
(75), |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
de
NAMUR Guillaume
1er
- 663 - |
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Fils de de
TARENTE ; d'ANJOU Philippe
1er - 394 - |
Uni avec de NAPLES Jeanne 1ère. |
2
enfants sont nés de cette union : |
o
de
TARENTE Françoise
- 665 - |
1 Note Générale :
Louis de Tarente
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Louis de Tarente, né en 1308, mort en 1362, roi de Naples de 1347 à 1362, fils de Philippe Ier d'Anjou, prince de Tarente, et Catherine de Valois-Courtenay.
Il fut l'amant de la reine Jeanne Ire de Naples, participa à l'assassinat de son mari André de Hongrie et épousa la reine, devenant ainsi roi de Naples. À peine couronné, Louis le Grand, roi de Hongrie envahit le royaume de Naples pour venger son frère. Les troupes napolitaines, peu confiantes, désertèrent, et le couple royal prit la fuite en Provence. Louis de Hongrie ayant quitté Naples, Louis de Tarente et Jeanne revinrent en Italie et entreprirent de reconquérir le royaume, occupé par les soldats hongrois. La guerre s'éternisa jusqu'au moment où le litige fut porté devant le pape, qui trancha en faveur de Jeanne en 1350.
Louis et Jeanne eurent :
* Catherine (1347 † 1364)
* Françoise (1349 † 1352)
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Fils de de
TARENTE ; d'ANJOU Philippe
1er - 394 - |
Uni avec de BOURBON Marie |
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1 Note Générale :
Robert de Tarente
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Armoiries de Robert, prince de Tarente
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Armoiries de Robert, prince de Tarente
Robert d'Anjou-Sicile, né en 1315, mort à Tarente le 10 septembre 1360, prince de Tarente et empereur titulaire de Constantinople, fils de Philippe Ier d'Anjou, prince de Tarente, et Catherine de Valois-Courtenay.
Biographie [modifier]
Il succéda à son père en 1332.
Il se trouva prit dans les haines opposants les différentes branches de la maison d'Anjou. A l'origine, en 1309, Robert le sage second fils de Charles II d'Anjou avait écarté du trône son neveu Charles Robert, fils du fils aîné de Charles II. André de Hongrie, fils de Charles Robert, avait épousé Jeanne Ire, la petite-fille de Robert le Sage, mais une fois au trône, les époux s'étaient déchirés, rallumant cette querelle de succession. Jeanne avec la complicité de son amant Louis de Tarente, fils du troisième fils de Charles II, avait fait assassiné son mari, épousé Louis de Tarente et l'avait placé sur le trône. Louis Ier de Hongrie, le frère aîné d'André, résolut de le venger et attaqua le royaume de Naples en 1347. Louis de Tarente et Jeanne Ire s'enfuirent en Provence, mais Louis de Hongrie fit prisonnier les frères de Louis de Tarente, dont Robert.
Libéré en 1352, il leva une armée et alla combattre en Grèce. Il prit Corfou, Céphalonie et Zante de 1353 à 1354. Il revint ensuite à Naples.
Mariage [modifier]
Il épousa à Naples le 9 septembre 1347 Marie de Bourbon (1315 † 1387), veuve de Guy de Lusignan (1316 † 1343), connétable de Chypre, et fille de Louis Ier, duc de Bourbon, et de Marie d'Avesnes. Ils n'eurent pas d'enfants de ce mariage.
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Fille de de
TARENTE ; d'ANJOU Philippe
1er - 394 - |
Unie avec des BAUX François |
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Fille de de
TARENTE ; d'ANJOU Philippe
1er - 394 - |
Elle a épousé en 1316, |
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510. de TARENTE ; d'ANJOU-SICILE Philippe II1 , Génération XII |
Fils de de
TARENTE ; d'ANJOU Philippe
1er - 394 - |
Il a épousé à l'âge de 26 ans, en
1355, |
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1 Note Générale :
Philippe II de Tarente
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Armoiries de Philippe II, prince de Tarente
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Armoiries de Philippe II, prince de Tarente
Philippe II d'Anjou-Sicile, né en 1329, mort à Tarente le 25 novembre 1374, prince de Tarente et empereur titulaire de Constantinople, fils de Philippe Ier d'Anjou, prince de Tarente, et Catherine de Valois-Courtenay.
Il porta d'abord le titre de comte d'Acerra puis à la mort de son frère Robert en 1264 déclaré son héritier, il prit le titre d'empereur de Romanie ou de Constantinople, réclament à sa belle soeur la possession du Péloponnèse comme suzerain et prince de Morée.
Biographie [modifier]
Il se trouva prit dans les haines opposants les différentes branches de la maison d'Anjou. À l'origine, en 1309, Robert le sage troisième fils de Charles II d'Anjou avait écarté du trône son neveu Charles Robert, fils du fils aîné de Charles II. André de Hongrie, fils de Charles Robert, avait épousé Jeanne Ire, la petite-fille de Robert le Sage, mais une fois au trône, les époux s'étaient déchirés, rallumant cette querelle de succession. Jeanne avec la complicité de son amant Louis de Tarente, fils du quatrième fils de Charles II, avait fait assassiné son mari, épousé Louis de Tarente et l'avait placé sur le trône. Louis Ier de Hongrie, le frère aîné d'André, résolut de le venger et attaqua le royaume de Naples en 1347. Louis de Tarente et Jeanne Ire s'enfuirent en Provence, mais Louis de Hongrie fit prisonnier les frères de Louis de Tarente, dont Philippe.
Il ne fut libéré qu'en 1360 et revint à Naples où il s'irrita de voir que sa sœur Marguerite avait épousé Jacques des Baux, duc d'Andria, sans recueillir l'accord de ses frères et mena une guerre contre son beau-frère, mais dont on sait peu de choses, et qui se termina par l'intervention de pape. Il succéda à son frère Robert en 1360 et mourut en 1374.
Mariages et enfants [modifier]
Il se marie en 1355 avec Marie de Naples (1328 † 1366), fille de Charles d'Anjou-Sicile, duc de Calabre, et de Marie de Valois et sœur de la reine Jeanne Ire de Naples. Ils eurent :
* Philippe, né en 1356, mort jeune.
* Charles, né en 1358, mort jeune.
* Philippe, né en 1360, mort jeune.
* un enfant, né en 1362, mort en 1362.
* un enfant, né en 1364, mort en 1364.
Veuf, il se remaria le 20 octobre 1370 avec Elisabeth de Slavonie (1352 † 1380), fille d'Étienne de Hongrie, duc de Slavonie, et de Marguerite de Bavière et petite-fille de Charles Ier Robert d'Anjou, roi de Hongrie. Ils eurent :
* Philippe, né en 1371, mort jeune.
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